Monsieur, mon Maître

Nouvelle Vie

Lundi matin 7 heures, je suis assise à une table du café, Sam rentre, elle vient directement me voir, elle me salue poliment, il est vrai que j'avais oublié que c'était une magnifique jeune femme surtout dans cette tenue, elle porte un tailleur court avec un chemisier entre ouvert, une jupe à mi-cuisse, des bas noirs à fines mailles, je me demande si elle ferait une bonne soumise, arrête on est là pour le travail.

Je l'invite à prendre place, elle s'assoit sur la chaise en face de moi, elle croise ces jambes, j'ai juste pu deviner une fine culotte de dentelle noir, elle me donne un badge à mon nom sur le quel il y a trois lettres, PDG, je tremble en le prenant, elle passe un badge autour de son cou,( un cou si délicat que je le caresserais bien, Lucy ARRÊTE, ne hurle ma tête), nous buvons un café, elle me donne des dernières recommandations, je paie et on va au bureau, sa démarche est féline je la regarde avec envie.

 
                    *****
                Souvenirs

Mon Maître est couché sur le dos, complètement nu, je peux enfin le voir, je prends l'huile je lui masses les jambes, je viens vers ces cuisses, son membre est tendu comme un pic au milieu de la plaine, je me mets à califourchon sur ces jambes, je me penche vers de membre viril, je pose mes lèvres dessus.

Il est chaud, si doux, j'aime son odeur, je passe mes lèvres autour, je descends sur la tige, je serres mes dents sur le gland, il frémi, je serres un peu plus fort, il gémit, je continue jusqu'au fond de ma bouche, je le pompe, mes mains sont sur ses cuisses, je m'appuie dessus pour pouvoir mieux le sucer, je prends mon temps, j'ai envie de bien le sentir dans ma bouche, mes mouvements sont lents, je monte, je descends jusqu'au moment ou il se cabre et il se vide dans ma gorge sans un bruit, son sperme chaud coule dans ma bouche, il a un goût amer mais j'aime ça, juste un petit râle, j'avale tout, je suis heureuse, je mouille de plaisir.

"Humm, Lucy tu est très douée."

Il me prend dans ces bras, il est tellement charmant, je me colle à lui, je pose ma tête dans le creux de son épaule, je le caresses, il attrape ma main et la serre doucement.

"Reste tranquille, il te faut garder des force pour toute à l'heure."

"Redis moi le mot de sécurité."

"Maître le mot est blanc."

"C'est bien ma soumise, ce soir tu auras peut être besoin, c'est ta première nuit ou la douleur sera très forte."

"Bien Maître, je ne vais pas vous décevoir."

" Il n'est pas question de me décevoir mais que tu prennes du plaisir dans la douleur."

"Oui Maître."

Sa respiration est calme, je finis par m'endormir dans ses bras, un frisson parcours mon corps, j'ouvre les yeux je suis seule dans la chambre, mon Maître n'ai pas là, je stresse, je me lève, je vais voir à la salle de bain, il n'est pas là non plus, je panique, j'entends la porte de la chambre de fermer, il est là devant la porte avec un plateau de nourriture.

"Lucy ça va ?"

"Oui Maître, j'ai juste eu un peu peur car vous n'etiez plus là."

Il pose le plateau sur le lit, il m'invite à le rejoindre pour manger, il est assis les jambes écartées et je viens me coller à lui, il passe ses mains autour de ma taille, il les posent sur mon ventre, une main viens sur mes seins, il les massent doucement, je frissonne de plaisir, il arrêt, nous mangeons et à la fin du repas il m'envoie me doucher et il m'ordonne d'enlever le plug, sans lui en sortant de la douche j'ai l'impression d'être nue.

Je m'approche de mon Maître, il me mets le collier de soumission, il prend le foulard et m'attache les cheveux avec, il me fait une queue de cheval, avant de baisser mon regard je le regarde avec envie et désir, il porte un costume trois pièces gris style Shérif comme dans les vieux western à la télé, il me prend part la main et on quitte la chambre.

Nous sommes dans une nouvelle pièce du château, je reconnais les différents éléments du lieu, mais ce qui m'intrigue c'est les banc tout autour de la scène, au centre il y des chaînes qui pendent du plafond.

"Tu vas être attachée, quel est le mot de sécurité ?"

"Blanc Maître."

"C'est bien, je vais te bander les yeux, jusqu'à la fin de la séance."

"Oui Maître."

Il vient derrière moi, il pose le bandeau sur mes yeux, je ne vois plus rien, les secondes passent et j'entends des personnes rentrer dans la pièce, je ne sais pas combien de temps je reste debout au milieu de la pièce.

Mon Maître reviens vers moi, je reconnais son souffle, il me prend les poignets, il les attaches au-dessus de ma tête, il tire doucement,je ne suis pas complétement tendue, il prend une cheville qu'il attaches à un objet, je pense à une barre de distance ou il vient attaché ma deuxième cheville, il retend les chaînes du plafond, je touche juste le sol avec une partie des pieds et les orteils sont à plat sur le sol.

"Depuis le début de nos échanges, tu me dis être résistante à la douleur, nous allons être vite fixer."

Mon Maître m'a déjà donné la fessée mais la je sais que ça va faire vraiment mal, je ferme mon esprit à la douleur et je me concentre sur moi pour prendre du plaisir, il vient me parler à l'oreille.

"Je te rappelle que tu dois restée silencieuse sauf pour le mot de sécurité."

Il se recule, la première claque frappe ma fesse, je me crispe, je respire très profondément pour me détendre, les claques sont précisées, mes fesses chauffent, je suis bien, il arrêt, je sens sur ma peau un objet en cuir, c'est sûrement une cravache, un premier coup frappe ma poitrine, je me concentre pour pas gémir, les coups sont sec, n'es tétons se tendent de plaisir, je me pinces la lèvre, c'est très bon.

Non Maître arrête et il me caresse le dos, là je sais que je vais avoir mal.

Il claques un coup de fouet sur le fond de mon dos, juste au dessus des fesses, (bon dieu sa pique fort), un deuxième coup frappe mes fesses, la lanière fait aussi le tour de ma cuisse, instantanément je sens la chaleur envahir ma chaire, il recommence une dizaine de coups entre le dos et mes fesses, c'est tellement bon que je mouille, je sens les gouttes de cyprine qui coule sur les lèvres de ma chatte, je me crispe et je jouir dans le silence.

"Qui t'a dit de jouir."

"Personne Maître, pardon Maître."

"Pour cela je te fouet encore."

Le premier claquement ne se fais pas attendre, il s'en suit encore une dizaine, mon corps est en feu, dans la pièce il y a des chuchotements, je crois comprendre que mon Maître est allé trop fort, maïs moi j'aime ça.

Les gens sortent de la pièce, quand celle-ci est vide mon Maître viens me détacher, il m'enlever le bandeau, mon corps est en feu mais de le voir dans cette état cela me fait oublier ma douleur, je ne mets à genoux.

"Maître je vous ai dessus ?"

Il ne dit rien, il ne bouge pas, je ne comprends pas alors je lui caresse les jambes, je vois qu'il band, je lui ouvre la braguette et je sors son membre, je le suce doucement.

"Maître, je vous offre mon cul, je vous en prie Maître prennez moi."

Je me relève, je me tourne vers un banc, je lui présente mon cul.

"Maître fait moi l'honneur de me prendre.*

Il ne dit pas un mot, il s'approche de moi, il fait glisser son pantalon au sol, je me mouille l'anus aussi l'entrée de mon petit trou, il pose son gland sur le bord, il hésite, je me recul d'un coup et son gland rentre, il pose ses mains sur mes hanches, je bouge pour mieux sentir sa bite, il commence des mouvements et finalement il ne prend franchement, ses coups de reins sont des coups de butoir, il me serres les hanches très fort, il y a la douleur de sa bite, celle des coups de fouet mais à l'instant où il explose dans mon cul j'ai un orgasme incroyable, tellement fort que tout mon corps tremble.

Il s'effondre sur mon dos, il ne bouge plus, il n'a pas dis un seul mot, je lui laisse le temps de reprendre ces esprits, il se retire, je le rhabille, je le prends part la main et on quitte la pièce, maintenant je sais de que je veux vraiment.