Frustrée

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Je prends le porte document que m'a donné Madame Chevalier, je sens l'odeur familière de mon Maître, c'était son porte document, je l'ouvre, je sors des feuilles, une enveloppe et les poses sur mon bureau, je m'installe, j'ouvre l'enveloppe ou es inscrit mon nom et je les lis.

*Lettre de mon Maître*

Ma Lucy, ma chère soumise.

Comme dans tout les romans ou film d'espionnage si tu lis ces mots c'est que je suis mort.

Sourit tu savais que cela aller arrivé , toi seule était au courant que j'étais malade.

Je t'ai éduquer à devenir une femme forte, tu es libre de choisir ton destin, je t'offre différentes options, tu peux choisir ta liberté, trouver un nouveau maître ( tu en connais plusieurs qui seraient ravis de t'avoir comme soumise) et la dernière, si tu veux téléphone au numéro suivant 5557155569 et donne ton nom.

Je t'aime, je t'ai toujours aimé même si des fois je fut cruel.

                    Ton Maître

PS : tous les cadeaux reste à toi y compris l'appartement.

                 *********
                 Souvenirs

Anne fait le tour de la cuisine, elle ouvre la porte fenêtre de la terrasse, prends une télécommande et elle fait baisser le store de la pergola, elle sort et elle ce couche sur un grand divan arrondi, elle me regarde, elle m'invite à la rejoindre, je frissonne, j'ai déjà caresser d'autres femmes, j'ai déjà fantasme  d'aller plus loin que des caresses mais là j'ai tellement envie d'elle et elle le sait, je reste sur le pas de la porte.

"Tu peux me rejoindre Monsieur accepte que ces soumises prennent du plaisir ensemble et on doit faire plus connaissance."

Je me rapproche d'elle,je m'assoie sur le bord du divan, je sens ses mains me caresser le dos, elles remontent sur mes omoplates, je ressens son souffle dans mon cou, je frissonne, elle pose ses mains sur mes seins et elle ce colle contre mon dos, elle passe ces jambes autour de ma taille, elle les glisse entre les miennes et elle me les fait écarter.

Sa chaleur me fait du bien.

"Anne fait moi l'amour."

Je lui soupir.

"Oui ma douce."

Elle se serre encore plus contre moi, ces mains si douces caressent mes seins, elles frôlent mes tétons qui pointent tout de suite, une main descend vers mon sexe, elle appuie sur mon pubis et plonge un doigt dans ma chatte offerte, elle trouve mon clitoris, elle le caresse avec précision, je me laisse aller dans ces bras expert en plaisir, elle me masturbe, je vais jouir mais elle s'arrête et me couche sur le divan, elle fait le tour de moi, elle m'allonge complétement.

Je suis offerte à sa volonté, elle me redresse les jambes, elle les écartes, elle vient poser des baisers sur mes jambes, elle commence part les chevilles ensuite les mollets, l'intérieur de mes cuisses.

Ho bon Dieu c'est si doux si bon, j'ai des frissons sur tout le corps, mon ventre est rempli de papillon, elle ce redresse, elle me regarde droit dans les yeux.

"Je t'en supplie continue Anne, ho Anne, baise moi."

À ces mots elle plonge sa tête entre mes jambes, sa langue viens me fouiller entre mes lèvres gonflées de plaisir, elle remonte doucement, elle prend son temps, elle trouve mon clitoris, elle le lèche, elle le suce, c'est tellement bon, c'est tellement doux, je sens arrivé la jouissance, je crie son nom, elle arrête, elle vient m'embrasser, sa bouche est rempli de mon goût.

"À mon tour de jouir."

Anne vient au dessus de mon visage, elle pose son sexe sur ma bouche, j'essaie de faire de mon mieux mais je n'ai jamais fais cela, j'ai de la peine à respirer, je trouve son clitoris que je lèche, je le suce, plus Anne approche de la jouissance plus elle resserre ses jambes, elle crie son plaisir et me libère, j'ai de la peine à reprendre mon souffle, elle se couche sur moi.

"Tu as des progrès à faire, notre maître vas devoir bien te dresser."

Elle me regarde dans les yeux, elle se lève, elle m'envoie un baiser et retourne dans l'appartement, quelques secondes plus tard, je l'entends fermer la porte, je me retrouve seule.

Je suis allongée sur le divan le soleil chauffe ma peau, je me demande si j'ai fait le bon choix, j'ai l'impression d'être juste un jouet, je suis frustrée, je tremble, je pleur et fini par m'endormir là.

Le soleil c'est coucher, j'ai froid, je me rappelle que je suis sur la terrasse, je rentre, je prends le foulard mon Maître.

Le téléphone clignote, il y a un message de mon Maître.

* Lucy, j'ai un changement de programme, prépare toi, je passe te chercher à 19 heures 30.

Je regarde l'heure il est déjà 19 heures 10, je fonce à la douche, je m'habille d'une robe légère, je quitte l'appartement et je descend les escaliers quatre à quatre, je sors sur le bord de la route, je pose le foulard sur mes épaules et j'attends.

"Tu es magnifique Lucy."

Je sursaute à la voix de mon Maître.

"Monsieur vous m'avez fait peur."

Il me prend la main et pose un baiser dessus.

"Je suis désolée, dis moi, est-ce que tu portes des sous-vêtements ?"

Je lui répond oui en baissant la tête.

"Retire les maintenant."

Sa voix est douce mais tellement autoritaire que je le fais, je les lui donne, il me regarde et les mets dans une poubelle.

"Marchons."

M'ordonne- t-il, je me tiens à ces côté, c'est agréable de sentir sa puissance, on fait le chemin jusqu'à la Sorbonne, cela nous prends un petit quart d'heure.

"Je vais te donner une leçon."

"Oui Maître."

Il me fait aller contre les grilles du bâtiment, je dois me retourner, il glisse une main sous ma robe, il me fait écarter les jambes, je sens quelque chose de froid, c'est du gel, il écarte mes fesses,il trouve tout de suite mon anus, il plonge son doigt plein de gel, le rentre d'un coup sec, il le fait plusieurs fois, je reste silencieuse, j'aime ça, il arrêt, je sens le métal froid d'un objet, je devine que c'est un plug, il est de petit taille, je l'accepte facilement.

"Bien Lucy, nous allons manger."

Monsieur, mon Maître Où les histoires vivent. Découvrez maintenant