Le temps passe

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Les jours passent est la présence, le manque de mon Maître diminue, les semaines devient des mois, j'ai repris les commandes de l'entreprise, Anne est complètement dévolues à mes désirs, je l'ai fait venir s'installer dans mon appartement, elle connaît les consignes quand je rentre.

Mon Maître m'avait bien éduquée, il savait que je ne pourrai pas rester une soumise toute ma vie, au Manoir les autres maîtres me respectent et les soumis me craignent.   

                     *****
                 Souvenirs

Je suis restée quelques jours sur Paris ensuite je suis rentrée chez moi en Provence avec mes parents, j'ai passé beaucoup de temps à regarder et à me renseigner sur les différentes soumissions, le BDSM, le Shibari et autres manière d'avoir du plaisir, mais j'ai toujours la même question.

"Est-ce que je suis folle ?"

L'été est passé très vite entre mes aller retour pour m'installer dans l'appartement, j'ai pu le décorer avec mes idées, même que mon Maître à beaucoup aimé, on c'est vu plusieurs fois, mais seulement une pour une soirée qui c'est passée dans un club.

"Lucy, ce soir tu vas porter cette robe."

"Oui Maître."

Nous sommes au milieu du salon, je prends la robe est m'habille devant mon Maître, c'est une robe avec un décolleté juste au nombril, le dos est nu juste au milieu de mes fesses, mais le tissu est transparent au final je suis nue.

On quitte l'appartement et il y a peu de monde dehors sur le trottoir il y a juste un homme qui fait son jogging et il ne fait pas attention à ma tenue, je rougis de me savoir habillée comment ça.

On a pris la limousine de mon Maître, le club ce trouve dans le quartier de Montmartre, on quitte le véhicule et on rentre dans le bâtiment, l'ambiance est très feutré.

"Ce soir je te conffi à des mains expertes dans le Shibari."

"Oui Maître."

Dans ma tête c'est une explosion de désir, au point de commencer à mouillé, on va directement au centre de la pièce, mon Maître m'enlève ma robe et il vas s'assoir dans un fauteuil juste au bord de la scène.

Dans la pénombre je vois des personnes venir s'installer autour de moi, j'aperçois une jeune femme qui s'approche avec des cordes.

"Je m'appelle Maiko, je vais m'occuper de toi."

"Oui Maîtresse."

Elle me sourit et viens à mon oreille.

"Je ne suis pas une maîtresse, j'aime juste mon art."

Je n'arrive pas à me détendre, Maiko viens contre moi, elle passe ces mains sur mon corps, elle me parle tout doucement.

"Il faut que tu respire tranquillement, je ne vais pas te blesser."

Elle me sens pas rassurée, elle me fait m'assoir, elle retire son kimono, c'est une magnifique femme à la peau blanche, aux cheveux noirs qui lui arrive jusqu'au fond du dos, elle prend une première cordes et elle m'attache en douceur, ces geste sont précis et en quelques minutes je me retrouve suspendu à un mètre du sol.

Mon Maître viens voir le travail en premier, il passe sa main sur mon corps entre les cordes, je frissonne, il se retire, pendant plusieurs longues minutes, il y a plusieurs mains qui de poses sur mon corps, certaines me caresse, d'autresme pinces, finalement elles partent et je reste suspendu dans le vide.

Mon esprit est parti comme si lui aussi était suspendu dans le vide, je ne fais pas attention mais mon Maître est derrière moi, il m'écart les fesses, il pose un peu de gel sur mon anus, il glisse un puis deux doigts pour écarter le trou, il pose son membre contre l'entrée, il pousse doucement le gland qui passe le bord serrer et d'un coup sec il me prend, je reprends conscience du moment présent avec brutalité, il pose une main sur mon clitoris, il me caresse en même temps, il me faut peut de temps pour jouir, il continue de me pilonner jusqu'à l'orgasme, je sens au fond de mon corps son sperme chaud qui s'écoule en moi, il se retire et il s'en va.

Je reste suspendue, je sens le liquide chaud de mon Maître qui coule entre mes fesses pour tomber au sol, les douces mains de Maiko viennent m'essuiés le visage des larmes qui coulent, elle se penche vers moi et m'embrasse.

"Ton maître est une brute avec toi, tu as besoin de douceur."

Elle me détaches, je n'arrive pas à marcher, elle me dit de rester là quelques minutes pour pouvoir réactivit mon corps, je regarde les marques des codes, je passe mes doigts dessus, je frissonne.

"Les marques vont très vite disparaîtes."

Maiko me prend part la main et me conduit sur un grand lit, elle est toujours nue, je m'allonge, elle me regarde avec envie.

"Ton maître a accepté de me payer en nature pour ma prestation, je dispose de toi pour le reste de la nuit."

Je suis étonnée car mon Maître c'est que je lui appartient qu'à lui.

"Ton maître c'est que tu lui est pas fidèle, il le tolère car c'est avec des filles, mais fait attention de ne jamais le tromper avec un mec."

Je reste surprise et sans voix, je ne sais pas à quoi m'attendre, elle revoir la crainte dans mon regard.

"Quel est ton mot de sécurité ?"

"Rouge"

Elle fait le tour du lit, elle prends un lanière et m'attache le poignet, elle fait la même chose avec mes chevilles et elle finit avec mon deuxième poignet, je suis complètement écartelée, je sens la cyprine couler entre mes jambes, je suis dingue excitée.

Elle prends un martinet, elle le fait glisser sur mon corps, je la vois le lever et un coup sec viens me frapper la cuisse, je laisse échapper un cri de surprises, elle continue sur l'autre cuisse, je râle de plaisir, elle vient sur ma chatte qui dégouline de plaisir.

Maiko me regarde dans les yeux, elle continue son chemin sur mon corps, les coups sont précis, la douleur est supportable, je ressens un mélange de désir et de douleur, le picotement sur ma peau fini par me faire jouir, Maiko pose le martinet.

Elle vient sur mon ventre, je sens la chaleur de son sexe sur ma peau, c'est tellement doux, elle m'embrasse, elle vient sucer et pincer mes seins, mes tétons sont dressés de plaisirs, elle prends dans ces cheuveux deux barrettes plate qu'elle fixe à mes tétons.

Elle se retourne, elle se penche sur mon sexe, ces doigts écartent mes grandes lèvres, elle glisse sa langue à l'intérieur, elle joue avec mon clitoris, elle passe sa langue dessus, autour, elle l'attrape avec ces lèvres et l'aspire avec force, je crie mon plaisir, l'orgasme est très fort tout mon corps tremble.

Maiko se redresse, elle prend un god, je mouille tellement, elle me lubrifie l'anus avec, elle le glisse en moi, elle l'allumes et elle me sodomise avec bien fort, je suis prise dans une jouissance qui m'amène à un deuxième orgasme plus fort que le précédent, je ne sens partie, je suis tellement fatiguée que je m'endors.

****

Cette soirée fut très épuisante et les jours suivants je suis restée chez mes parents jusqu'à aujourd'hui.

La veille de ma rentrée à Polytech je suis remontée à Paris, j'ai trop hâte de faire la surprise à Ambre.

Monsieur, mon Maître Où les histoires vivent. Découvrez maintenant