Chapitre 25

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Le lendemain matin…

                                  Varia

Je suis chez Ryder.. nous avons passé la nuit ensemble ; nous sommes tous les deux allongés sur le lit à moitié nu

Ryder : qu'est-ce qui t'a pris de venir jusqu'à moi hier soir

Moi : cet idiot de Raph ne me touche plus depuis un certain temps ; il s'éloigne de moi chaque jour… je crois qu'il voit une autre femme

Ryder : et moi qui pensais que tu commençais à ressentir des choses pour moi ( rit-il)

Moi : je n'aimerais jamais un brut comme toi

Ryder : mais tu es quand-même venue

Moi : j'avais besoin de s€x c'est tout ! ( Je me lève du lit )

Ryder : que fais-tu ?

Moi : je rentre !

Ryder : pourquoi t'es pressée ? Je te rappelle que celui pour qui tu te précipite ne t'a même pas appelé de la journée

Moi : il a ces raisons, et ça ne te regarde pas

Il se redresse..

Ryder : tu m'as dit que sa secrétaire était introuvable.. propose à ton milliardaire de travailler dans son entreprise, comme ça tu pourras voir toutes ces dépenses de près et le voler quand tu le souhaites

Moi : t'es malade ?

Ryder : eh oh m'insulte pas poupée, je te rappelle que c'est pour te sauver toi puisque tu ne veux pas vendre ton entreprise pour me payer alors vole le !

Je m'habille…

Moi : à plus tard ! ( Dis-je en mettant ma robe )

Je sors..

Ryder : n'oublie pas ce que je t'ai dit ( il crit )

Je sors, je me dirige vers l'arrêt de bus où je vois une affiche disant que l'entreprise Müller a été pratiquement détruite à cause des révoltes de plusieurs hommes qui se sont retrouvés au chômage par sa faute

Je m'étonne…

Moi : c'est quoi cette histoire encore ? Si l'entreprise de Raph est en ruine comment je vais faire pour dédommager ce sale type.

Je téléphone à Raph, qui ne décroche pas…

Moi : il décroche pas. Mer_de !

J'arrête vite un taxi...

                                     Raph

Nous sommes au Hall principal avec Nicolas.. on s'est fait un petit déjeuner

Nicolas : mais tu n'as pas répondu à l'appel ?

Moi : je mange ! Je n'aime pas être dérangé quand je suis à table

Nicolas : j'ai cru voir que c'était Varia au téléphone

Moi : c'était bien elle

Nicolas : et tu n'as même pas décroché pour savoir si elle va bien ? Tu ne l'as pas vu hier de la journée

Moi : elle va bien je te dis ! Et je suis sûr qu'elle appelait pour me poser un autre problème auquel elle s'est encore fourrée

Nicolas : tu as l'air de bien la connaître

Moi : au contraire.. je ne la connais pas !

Nicolas : mais bon bref.. dis-moi ce que tu vas faire aujourd'hui !

Sois ma femme pour dix joursOù les histoires vivent. Découvrez maintenant