𝐋𝐢𝐳𝐢𝐚𝐧𝐚 [en pause ]

Prologue

25 août 2007.
20h00

« pour les personnes qui veulent
se sentir aimée...»

LIZIANA
༻

C'est plus fort que moi.

Je me suis encore échappée des mains de mon géniteur.

Violent et sans coeur.

Aucune pitié.

Mais fuir ne réglera pas mes problèmes, je ne fais que les retarder, mais cette lueur de liberté me fait vivre, j'espère sans cesse qu'à mon retour mon père soit aimant et affectueux, mais la vérité est bien plus affreuse. Si j'ai la mal chance que mon père soit encore debout à mon retour, je finirai problablement aux urgences. Retarder un problème le rend juste plus fort, plus intense, mais c'est plus fort que moi.

Elle n'a jamais vue mes bleus, mes marques. J'espère encore tout les jours, prie pour qu'elle s'en rend compte.

Il continue, il s'arrête jamais. Il a jamais arrêté de boire à longueur de journée et de me mettre des coups de points partout sur le corps. Comment un père peut faire sa à son enfant, à son sang ?!

C'est une chose vraiment horrible !

***

Je suis sortie de ma chambre par ma fenêtre, après avoir réussie de descendre. Je suis partie au parc à côté de chez moi. Je suis allée dans la plaine de jeux. Puis je me suis assise sur une balançoire.

Maintenant, je regarde le ciel, les étoiles. J'aimerais tellement briller comme elles, briller à ses yeux.

Je prend une cigarette dans ma poche puis l'allume. Sa fait du bien !

— quesqu'une fille comme toi fait ici à une heure pareille ?

Je sursaute puis me tourne vers la personne qui a parler. C'est un garçon, il a plus au moins la vingtaine, cheveux noir et des yeux vert.

Je ne lui répond pas et continue a le regarder. Il avance et vient s'assoir sur la balançoire à côté de moi. Je l'es suivi du regard. Je ne m'etait pas rendu compte.

— cette merde est mauvaise pour toi ! Il me l'a prend des mains et la jette parterre puis l'écrase avec son pied.

Je détourne le regard. Je sens qu'on me fixe, alors je cherche la personne et je vois que c'est lui.

— comment tu t'appelle ? Je lui demande.

— ha, tu parle enfin ! Vaut mieux pour toi de pas savoir mon nom...

J'hoche la tête puis regarde à nouveau les étoiles.

— pourquoi une si jolie fille comme toi fume ?

— les gens fument par plaisirs. Moi, pour mourir plus vite.