𝐋𝐢𝐳𝐢𝐚𝐧𝐚 [en pause ]

𝐈 | 𝐋𝐢𝐳𝐢𝐚𝐧𝐚

2 septembre 2007.
7h12.

« À tout ceux qui ont subit
de l'harcelement, qui ont subit des années d'enfer... »

LIZIANA
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Après être rentrer de ma petite sortie. Je suis allée me laver et j'ai fini dans mon lit puis je suis tombé dans les bras de la Morphée.

Ce matin je me suis réveillé et je suis allée me préparer pour aller à l'université. L'université de Stockholm.

Stockholm est une petite ville avec quelques commerces et écoles, université.

J'ai pris le premier jeans qui me passait sur la main et puis un pull.

Je me suis habillé puis je suis descendu. J'ai pris une pomme qui était sur la table et puis j'ai pris mon sac, j'ai mis mes converses et je suis sortie de la maison. Pour aller à l'université.

Après 10 minutes d'attente, le bus est arrivé. Je suis rentré dedans et je suis allé m'asseoir sur un siège près de la fenêtre. Je met mon sac parterre près de mes pieds.

Irina,Lilia et Emilia suivent et rentrent à leurs tours. Irina passe à côté de moi et donne un coup de pied dans mon sac, mes affaires vole parterre.

Depuis ma première année, elles me font vivre ce calvaire. Des années d'enfer, enfermer dans les toilettes à essayer de échapper à ce cauchemar qu'elles me font vivre. Une peur bleue d'aller en cours. Des années de souffrance, de moqueries, d'harcèlement, d'humiliation. Quand elles me fout pas la tête dans les toilettes ou qu'elles me jettent leurs repas dessus.

J'attends qu'elles passent toutes pour ramasser mes affaires. Quand Emilia et Lilia passent, elle rigolent.

Je range mes affaires dans mon sac en vitesse puis me rassis sur mon siège et met mes écouteurs et met ma tête contre la vitre et attend que le trajet jusqu'à l'université passe. En espérant qu'en sortant les filles ne m'attrape pas.

Quand on est arrivé, je me suis dépêché de sortir par peur de me retrouver face à eux.  Qu'ont soient dehors, dans les toilettes, les couloirs ou la cantine, elles n'ont pas peur. Le directeur ne dit rien et les profs ferment les yeux. Elles le font en cours comme en dehors des cours. Quand elles le font en classe, les profs ne disent rien ou alors ils disent juste de travailler. Ils ferment tous leurs yeux et fait comme si sa ce passait pas sous leurs nez.

Je suis rentrer dans l'établissement et puis j'ai chercher après ma classe dans les couloirs. Quand je l'ai trouver, ils avaient déjà des élèves dans la classe. Je suis rentré en vitesse en espérant ne pas me faire remarquer.

Je suis aller m'asseoir à la place du fond à côté de la fenêtre et je met ma tête entre mes bras.

La classe commence à se remplir petit à petit. Jusqu'à que tout les élèves soient rentrer.

Un homme rentre dans la classe et se met devant le tableau et commence à écrit dessus.

Tout les élèves vont s'asseoir à leurs places.

L'homme se tourne vers la classe. C'est lui... l'homme de la balançoire l'autre soir.

Je ne m'attendais pas à le voir et encore moins ici.

Il lève son regard vers moi, il paraît surpris mais il retourne vite son regard. Il m'a peut être reconnu ?

Peu importe...

Je suis une fille comme les autres, une élève comme les autres.

Pourtant... l'autre soir, il ne s'était pas gêner de dire que j'étais jolie...

Mais je ne dois pas oublier qu'à partir de maintenant, c'est mon prof d'histoire.

Même si j'ai 19ans, je ne peux me permettre de faire copain copain avec un de mes profs. Si le directeur apprendrait qu'il se passait un truc entre une de ses élèves et un des profs, on serait fichu et surtout virer. On aurait de graves problèmes.

Alors qu'il allait parler, une fille et un garçon rentrent dans la classe. Ils s'excusent de leurs retards puis vont s'assoir. La fille avance jusqu'à moi et me demande la permission si elle peut s'assoir à côté de moi.

Je souffle un petit oui, elle me lance un sourire que je ne lui rends pas en retour puis elle s'assoit. Que je lui rend pas et puis je regarde l'autre personne qui est rentré avec elle.

Elle, elle est blonde et ses cheveux sont lisses avec des yeux verts. Elle est habillée d'une jupe noire un peu courte et un top rose qui laisse montrer son petit diamant au nombril.

Le garçon, est basané de peau et a les cheveux rasés. Il est habillé d'un jeans noir qui descend en dessous de ses fesses et un pull noir. Simple mais stylé.

Quand j'ai fini de les regarder, je remet ma tête entre mes bras et m'endors.