⟨⟨ UN AMOUR AUSSI FORT QUE LE NÔTRE N'EXISTE PAS ⟩⟩

Partie 59

السلام عليكم و رحمة الله و بركاته !

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Je pense que cette partie est littéralement dédiée à Sabrine et Ilyes. Peut-être que vous verrez les autres personnages, mais pas énormément Ilyad et Neyssa. Je suis désolée, mais si je fais cette partie, c'est exactement pour découvrir un peu plus ce duo et savoir ce que cache leurs faux sourires...J'espère que vous n'êtes pas déçu(es). Bonne lecture.

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Quand je vis qui est-ce, mon corps se figea instantanément en le voyant. Ma curiosité va vraiment finir par me tuer.

Et malheureusement pour moi, il me vit aussi.

Kamil : Wesh belle gosse.

Moi : ...Ta gueule.

Kamil : Qu'est-ce t'as, t'as les nerfs ?

Il me regarda de haut en bas.

Kamil : Et t'as bien embellies depuis la dernière fois..

Dit-il en souriant. Ce p'tain de sourire que je déteste tant.

Je sentais ma respiration partir et revenir, signe que la crise est prête à arrivée. Et c'est surtout pas le moment.

Alors que j'allais continuer mon chemin, celui-ci me retint par le bras, ce qui me procura un et milles frissons de dégoût.

Moi : Lâches moi !!

Kamil : De quoi ?? Ce qui s'est passé y'a 3 ans c'était pas mal, mais en vrai là, je pense que ça serait bien mieux...Et tu sais de quoi je parle.

Moi : Mais lâches moi p'tain !

Dis-je en me débattant. Mais sérieusement, il était déterminé à pas me lâcher. Je commençais à me sentir de plus en plus mal, en ayant la tête qui tourne.

?? : Oh lâches la espèce de malade, pourquoi tu forces ?!

C'était un jeune homme que je ne connaissais pas qui était arrivé derrière moi, en entendant ce scandale.

Kamil : Mais ça te regardes toi ?!

Lui : Lâches espèce de zemel, t'es là tu forces mais elle veut pas ! Depuis quand tu forces une femme ?!

Kamil : Mais fermes ta gueule ! T'es qui même ?? Tu la connais ?! T'as rien à dire, j'fais ce que je veux !

Le jeune homme en question poussa violemment Kamil. J'ai l'impression d'avoir récupérer mon souffle depuis qu'il n'est plus en contact avec moi. Mais c'est pas pour autant que mon coeur continuait ses battements sauvages.

Kamil : Oh, tu joues à quoi ?!

Lui : Mais toi tu joues à quoi zinc, vas-y, pars ! Pars si t'es un homme !

Il fusilla l'homme du regard avant de partir, en me regardant avec un regard menaçant.

L'homme s'est tourné vers moi.

Lui : Ça va ??

Moi : ..Oui...

Non, pas du tout. La crise est actuellement entrain d'arrivée, et le pire, c'est que je n'ai pas ce qu'il me faut avec moi.

Lui : Oh tranquille, respires.

Cette foutue de respiration qui voulait pas revenir, c'était ce qui m'agacer.