⟨⟨ UN AMOUR AUSSI FORT QUE LE NÔTRE N'EXISTE PAS ⟩⟩

Partie 61

السلام عليكم ورحمة الله وبركاته !

Répondez au salam s'il vous plaît, c'est une obligation chez nous les musulmans !

Votez !

«J'me dis qu'la vie est courte, qu'on partira tous un jour, alors je m'en tape de vos discours, derrière le bonheur moi je cours.»

Il souffla fortement avant de me lâcher.

Ilyad : Je vais me marier avec Hajar.

Haine, déni, surprise. Voilà les trois sentiments qui me sont montés en même temps.

Moi : Hein ?!

Ilyad : ....

Moi : Tu mens.

Ilyad : Je m-

Moi : TU MENS !

Ilyad : ...

Moi : POURQUOI P'TAIN, POURQUOI ?? POURQUOI ELLE ?

Ilyad : ...

Moi : QU'EST CE QUE JE T'AI FAIT ?! T'ES INDÉCIS P'TAIN, TU MENS !

Ilyad : N-

Moi : ARRÊTES, ARRÊTES ! T'ES ENTRAIN DE ME QUITTER POUR ELLE ?!

Ilyad : Neyssa p'tain ! Arrêtes de crier, y'a des gens pas loin !

Moi : MAIS JE M'EN FOU ! C'EST POUR ÇA TU FAISAIS LE DISTANT AVEC MOI ? POUR ELLE ? DONC TU L'AIMES ?! ET TES PAROLES D'IL Y'A QUELQUES JOURS C'ÉTAIT QUE DU MENSONGE !

Ilyad : Mélange pas tout p'tain, c'était pas du mensonge..

Moi : MAIS POURQUOI TE MARIER AVEC ELLE ?!

Je n'ai absolument pas compris, mais une personne est venue me sourire avant de se mettre à côté d'Ilyad et de lui prendre la mâchoire pour déposer un smack sur ses lèvres. Et ce n'était personne d'autre qu'Hajar.

Alors là, j'ai vu rouge total. Elle n'a même pas eu le temps de décoller ses lèvres des siennes que j'ai pris sa touffe de cheveux, avant de la faire tomber et de lui écraser violemment son ventre, ou elle échappa un cri de douleur.

Je me suis littéralement mise sur elle avant de la tabasser pleinement et défoulée mes nerfs sur elle. J'étais hors contrôle, voir méconnaissable. Moi qui avait pour habitude de tout prendre sur moi, aujourd'hui c'était la goutte de trop.

J'étais entrain de lui balancer des injures, et autres. Mais on m'a malheureusement séparé d'elle, en entourant ses bras autour de ma taille, et ce n'était autre qu'Ilyad qui m'a porté.

Moi : LÂCHES MOI !

Ilyad : Arrêtes p'tain ! Tout le monde est entrain de nous regarder !

Il m'a amené jusqu'à son chez lui. J'étais entrain de débattre comme une folle, mais j'ai abandonné puisque j'étais épuisée.

Épuisée mentalement et physiquement.

J'étais en larmes, entrain de me demander : Qu'est-ce que j'avais fait de mal ? Qu'est ce que j'avais fait pour mériter ça ? Une rumeur a tourné sur moi ?

Arrivés chez lui, il me déposa au sol avant de se mettre en face de moi. Et juste le voir, j'avais encore une fois envie de défoulée mes nerfs, mais sur lui ; Car oui, ils étaient tous les deux fautifs dans cette histoire de "mariage".

Moi : Parles pas ! Parles pas, je veux pas t'entendre ! Toi aussi t'es fautif dans cette histoire, comment tu veux que je t'excuse ?!

Dis-je en le frappant littéralement. Mais je l'ai accidentellement frappé un peu trop fort.