chapitre 19

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Trois hommes gabaré habiller en  noir attrapait Hugo par le bras et le traînaient hors de la fondation.   Valentina  se tourna et attrapa Ignacio du bras et l'amena  dans un coin.

Valentina : désolée pour ce qui vient de se produire. En faite c'est Léonard qui l'a amoché,ce détraqué voulait me violé.

Ignacio souffla,passa ses mains dans les cheveux et sourire en dévoilant toute sa dentition.

Ignacio : félicitations,tu viens de prouver qu'on ne marche pas sur les Sanchez même si Léonard t'a aidé. Ton pistolet te parviendra dans deux jours.

Valentina enlaçant son frère avant de se décaler de lui .

Valentina : A propos de l' héritier,j'ai décidé de faire l'insémination.

Ignacio la regarda surpris.

Ignacio : T'es sûr ? Ça ne te pose aucun problème ?

Valentina : Du moment où ça nous avantage, je.....

Amia : Val... Valentina, puis je vous parlez un instant ?

Valentina : Oui, oui. Excuse nous Ignacio, dit elle avant de s'en aller avec Amia.

   Arrivée au jardin, Amia enlance Valentina comme si elles se retrouvent après des mois voire des années.

Valentina : Qu'es.... qu'es ce qui se passe Amia, lui demanda t'elle

Amia : Es ce que tout va bien ? Il t'a fait quelques choses ?

Valentina : Non non, pourquoi ses questions.

Amia : je.... Je suis désolée p.... pour ce qui s'est passé avec Hugo.

Valentina : Quoi ? Tu étais de mèche avec lui ? Au fait comment le connais tu ?!

Amia : Non ?!  Je suis pas de mèche avec lui , je ne savais même pas qu'il serait présent ?

Valentina : Amia, Qui est il exactement pour toi ?!

Amia : Mon.... mon oncle.

Valentina : Quoi ?

Amia :  Au fait c'est mon oncle par ce que j'ai******* par son frère

Valentina essuya son visage de renvers de main et souffle un bon coup.

Valentina : c'est bon ce n'est rien, l'essentiel est qu'il ne m'a rien fait. Vient dans mes bras.

Hugo :  voyons  ?  Madame Sanchez et ma très chère nièce. On dirait que vous vous entendez bien ?

Elles se décale l'une de l'autre tout en l'assassinat du regard.

Valentina : On dirait qu'une mouche rare vous a piqué ce soir

Hugo : Nous sommes plus dans l'enceinte de votre fondation Sanchez mademoiselle , rendez grâce à votre Dieu d'avoir ces insignifiants dans votre camp mais c'est pas encore fini car la seconde fois où on se reverra, tu vas en bavé.



Bye bye petit papillon

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Anton ROOSMANOV :le diable des enfersOù les histoires vivent. Découvrez maintenant