...Baba: Kizimi vermiyorum (*Je donne pas ma fille)
Un silence s'installe dans la pièce. Tout le monde est restaient bouche bée. J'y croyais pas.
Il reprend la parole.
Baba: Mais non ne vous inquitez pas, kizimi size emanet ediyorum, ona iyi bak oglum (*Je vous confie ma fille, prend en soin d'elle mon fils)
Fallais voir comment j'ai lacher un soupir de soulagement. J'avais eu trop peur.
Adem: Ne t'inquiète même pas, je vais la rendre ta fille la plus heureuse de du monde
Adem me lance un regard. J'étais trop contente, je lui souris.
Oncle Aysan: Tu ma fais peur Mehmet
Baba: T'inquiète pas
Ils se lèvent et se sert la main.
Oncle Aysan: Ramenez les bagues
Omg le moment était arrivé.
Je me dirige a côte d'Adem et Siham emmène un plateau avec les bagues et un ciseau.
On se mets mutuellement les bagues dans les doigts de chacun. Les bagues étaient liés d'un ruban rouge et il fallait le coupé. C'est la tradition.
Oncle Aysan prend les ciseaux et viens tenir le ruban.
Oncle Aysan: Gencler birbirini sevmis ve kararini vermis. Hayirli ugurlu olsun, Allah tamamini erdirsin insh'Allah. (* Les jeunes se sont aimés et ont pris leurs décision, bonne chance à eux, qu'Allah la rende complète insh'Allah)
Il dit ceci et coupe le ruban.
Tout le monde commence a crier de partout. On avait enfin passé cette étape.
Adem me regarde avec un sourire et me prend dans ses bras, je fais de même.
...
Je vous passe toute la soirée. C'était incroyable, j'étais tellement heureuse.
Tard le soir, ils commencent petit a petit a rentraient.
Ils rentraient pas directement sur Marseille. Ils allaient tous rester dans une maison qu'ils avaient louer ici jusqu'au fiancailles et aux autres événements.
Une fois que tout le monde a fini par rentrer je vais remercier mes parents et parler un peu avec eux.
Ensuite je me dirige vers ma chambre pour aller me changer.
J'ai même pas eu le temps de rentrer dans ma chambre que mon téléphone a commencé a sonné. C'était Adem.
Je répond.
Adem: Descend Sana
Moi: Adem je peux pas
Adem: Trouve un truc a dire et descend vite fais
J'ai même pas eu le temps de dire quoi que se soit qu'il a raccroché.
J'enlève d'abord ma robe puis je me mets en jogging.
Je sors sans faire de bruit de la maison. Heureusement que tout le monde étaient déjà entrain de dormir. Faut savoir qu'il y avait aussi quelques unes de mes tantes qui rester a la maison donc ont étaient pas seules.
Je descend et je vais rejoindre Adem dans sa voiture. Il me prend direct dans ses bras.
Adem: w'Allah j'suis trop heureux
Moi: Même moi
Adem: On a passé cette étape Hamdoulilah
Moi: Oui
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Chronique de Sana : « Un amour impossible »
Romance« 𝐈𝐥 𝐲 𝐚𝐮𝐫𝐚 𝐭𝐨𝐮𝐣𝐨𝐮𝐫𝐬 𝐮𝐧𝐞 𝐩𝐥𝐮𝐦𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐞́𝐜𝐫𝐢𝐫𝐞 𝐥𝐞 𝐟𝐮𝐭𝐮𝐫, 𝐦𝐚𝐢𝐬 𝐣𝐚𝐦𝐚𝐢𝐬 𝐝𝐞 𝐠𝐨𝐦𝐦𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐞𝐟𝐟𝐚𝐜𝐞𝐫 𝐥𝐞 𝐩𝐚𝐬𝐬𝐞́.. » Chronique réelle avec des passages fictifs.