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...

Le lendemain.

Je me réveille à cause des mains d'Adem, il était entrain de caresser mes cheveux.

Je me redresse et je m'étire pour m'allonger plus près de lui.

Je me sentais tellement bien dans ma peau, y'avais aucun problème, on était ensemble, j'imaginais pas meilleur.

Aucun de nous deux parler pendant de longues minutes, on entendait que les bruits d'oiseaux provenir de dehors ainsi que nos respirations.

On se contenter juste de profiter de notre instant présent.

Il avait son bras autour de mon cou, et moi j'étais allongé près de lui.

Quelques secondes après il décide de prendre la parole.

Adem: C'est un rêve ou c'est la réalité ?

Moi: Même moi je sais pas

Adem: On a réussi Sana, tu te rend compte

Moi: Je suis tellement fière de se qu'on est devenu, face à toute ces difficultés qui se sont enchaînées depuis notre adolescence, on s'est quand même retrouver

Adem: Allah nous a unis, il a écrit notre destin ensemble

Moi: Oui Al hamdoulilah

On était tellement persuadé à finir notre vie ensemble..

Moi: Vas-y viens on se lève

J'allais me redresser mais il me retiens.

Adem: Reste tu va faire quoi même ?

Moi: On doit prendre la route Adem, on a encore même pas préparer nos valises alors qu'on part dans même pas une semaine

Adem: Tranquille y'a le temps encore

Moi: Non aller

Adem: Et sa commence

Moi: Mais mdr de quoi qui commence ?!

Adem: T'es crises la, force à moi pour te supporter

Moi: Ouais ouais aller

Je me lève pour aller me laver la figure puis me changer.

...

On avait ranger tout nos affaires, on allait prendre la route pour Marseille.

On allait rentrer chez nous, dans notre nouvelle maison.

Puis par la suite on avait prévu un séjour de deux semaines en Turquie.

On range la chambre et on enlève tous les draps puis on fait notre sortie de l'hôtel.

Tout d'abord on va dans un beau restaurant pas très loin de l'hôtel pour faire un bon petit déjeuner et après on prend la route.

...

J'vous passe tout le trajet, on s'était grave ambiancer et tout. C'était grave bien.

Après 7 heures de route on était enfin arrivé chez nous. J'imaginais pas encore.

On sort tout nos bagages du coffre. On avait une tonne d'affaires mais on prend juste se qu'on avait besoin pour le moment.

On se dirige vers celle ci puis Adem sort les clés de sa poche.

Il me regarde puis me dit.

Adem: T'es prête ?

Moi: Oui

Il déverrouille la serrure puis on rentre.

Nous: Bismillah

On avait fait notre entré dans notre maison.

Chronique de Sana : « Un amour impossible »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant