Chapitre 1: Entre les couloirs du pouvoir

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Le soleil se couchait lentement sur Paris, baignant les toits de la ville d'une lumière dorée. Les bureaux de l'Assemblée nationale étaient presque vides, seuls quelques députés et assistants traînaient encore, finissant leur journée de travail. Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, ajustait sa cravate en se regardant dans le miroir de son bureau. Il avait un rendez-vous inhabituel ce soir, une discussion privée avec Jordan Bardella, le jeune et charismatique président du Rassemblement national.

Les deux hommes s'étaient croisés à maintes reprises dans les débats télévisés, souvent en désaccord, mais toujours avec un respect mutuel sous-jacent. Ce soir, cependant, quelque chose était différent. Les tensions politiques semblaient s'effacer, laissant place à une curiosité et à une attirance inexplicables.

Gabriel sortit de son bureau, traversant les couloirs silencieux jusqu'à une salle de réunion discrète où Jordan l'attendait déjà. Leurs regards se croisèrent immédiatement, et Gabriel sentit un frisson parcourir son échine. Jordan se leva pour le saluer, un sourire énigmatique aux lèvres.

"Bonsoir, Gabriel," dit Jordan, sa voix grave résonnant dans la pièce.

"Bonsoir, Jordan Merdella. Merci d'être venu," répondit Gabriel, essayant de masquer son trouble.

Ils s'assirent l'un en face de l'autre, la table entre eux semblant soudainement trop large. La conversation commença sur des sujets formels : la politique, les prochaines élections, les enjeux nationaux. Mais peu à peu, le ton changea. Les sujets devinrent plus personnels, plus intimes.

"Tu sais, Gaby, j'ai toujours admiré ta passion et ta détermination," confessa Jordan, ses yeux fixés sur ceux de Gabriel.

Gabriel sentit son cœur battre plus fort. "Et moi, j'ai toujours été impressionné par ta capacité à défendre tes idées, même quand elles vont à l'encontre de la majorité."

Un silence s'installa, lourd de non-dits. Finalement, Jordan se leva et fit le tour de la table, s'arrêtant juste devant Gabriel. Il tendit la main, et Gabriel, après une hésitation, la saisit. Le contact était électrisant, éveillant des émotions qu'ils avaient longtemps refoulées.

"Gaby," murmura Jordan, se penchant légèrement. "Et si, pour une fois, on laissait la politique de côté ?"

Leurs visages se rapprochèrent, et avant que Gabriel ne puisse répondre, les lèvres de Jordan se posèrent doucement sur les siennes. Le baiser était tendre, hésitant, comme s'ils découvraient un territoire inconnu. Gabriel ferma les yeux, se laissant emporter par la douceur du moment; il en oublia même que jordy s'est chier dessus dans l'amphi N de Tolbiac et que son caca a coulé sur ses chaussures.

Quand ils se séparèrent, Gabriel souriait, un mélange de bonheur et d'étonnement dans les yeux. "Peut-être que nous devrions trouver plus de raisons de nous rencontrer en privé," dit-il en riant doucement.

Jordan hocha la tête. "Je suis d'accord. Peut-être qu'ensemble, nous pourrions trouver un moyen de faire avancer les choses, au-delà des clivages."

Ce soir-là, entre les couloirs du pouvoir, une nouvelle histoire commençait. Une histoire où l'amour et la politique se mêlaient, ouvrant la voie à des possibilités infinies. Gabriel et Jordan, malgré leurs différences, avaient trouvé quelque chose de précieux : l'espoir d'un avenir où les cœurs pouvaient se comprendre, même au-delà des divergences.

A suivre...

Attal x Bardella (Macron The Other Woman)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant