Attal x Bardella (Macron The Other Woman)

Chapitre 13: Tata Marine

L'hôpital était baigné dans une lumière douce du matin alors que Gabriel, épuisé par la nuit passée et rongé par la culpabilité, se dirigeait vers le bureau de Marine Le Pen. Il savait que cette conversation serait difficile, mais il devait informer Marine de l'état critique de Jordan sans révéler la vérité sur sa propre implication.

Il fut accueilli par un assistant qui le conduisit immédiatement à l'intérieur. Marine se tenait près de la fenêtre, regardant pensivement le paysage parisien. Lorsqu'elle se retourna, ses yeux perçants rencontrèrent ceux de Gabriel.

"Gabriel," dit-elle d'une voix grave, "tu voulais me parler de Jordan. Que se passe-t-il ?"

Gabriel prit une profonde inspiration, essayant de contrôler sa voix. "Marine, je dois te dire quelque chose de très grave. Jordan... Jordan est dans le coma."

Marine blêmit, ses yeux s'élargissant de choc. "Quoi ? Comment est-ce arrivé ?"

Gabriel détourna les yeux, rassemblant ses pensées. "C'était un accident, Marine. Il y a eu un incident, et Jordan a été gravement blessé. Les médecins font tout ce qu'ils peuvent, mais il est dans un état critique."

Marine sentit une vague de tristesse et de colère l'envahir. "Pourquoi ne m'as-tu pas prévenue plus tôt ? Pourquoi est-ce que je l'apprends seulement maintenant ?"

Gabriel hésita un instant, choisissant soigneusement ses mots. "Je ne voulais pas te bouleverser sans avoir tous les détails. Et il y a autre chose, quelque chose d'important. Macron est plus ou moins impliqué."

Marine fronça les sourcils, la confusion se mêlant à sa douleur. "Macron ? Que vient-il faire là-dedans ?"

Gabriel serra les poings, sentant la tension monter. "Jordan enquêtait sur des mouvements suspects de Macron. Il essayait de découvrir ses plans pour renverser l'Assemblée nationale. Je pense que Jordan a trouvé quelque chose de dangereux, et cela a conduit à l'incident."

Les larmes montèrent aux yeux de Marine alors qu'elle réalisait l'ampleur de la situation. "Jordan... il est si jeune, si prometteur. Comment a-t-il pu se retrouver dans cette situation ?"

Gabriel posa une main réconfortante sur son épaule. "Je sais que c'est difficile à accepter, Marine. Mais nous devons être forts pour lui. Il a besoin de nous, et nous devons faire tout notre possible pour découvrir la vérité."

Marine se laissa tomber dans un fauteuil, les larmes coulant librement sur ses joues. "Jordan... ce garçon a tant de potentiel. Il ne mérite pas ça."

Gabriel se pencha vers elle, parlant d'une voix douce mais déterminée. "Nous devons rester unis, Marine. Tu dois continuer son travail et assurer que ceux qui lui ont fait ça soient tenus responsables."

Marine hocha la tête, essuyant ses larmes. "Tu as raison, Gabriel. Nous ne pouvons pas laisser ceux qui sont responsables s'en tirer. Pour Jordan, nous devons nous battre."

Gabriel sentit un poids immense sur ses épaules, mais il savait qu'il devait rester fort. Pour Jordan, pour Marine, et pour lui-même. La route serait longue et semée d'embûches, mais ensemble, ils pouvaient surmonter cette épreuve.

Alors qu'ils se levaient pour sortir, Gabriel se tourna vers Marine. "Je vais retourner à l'hôpital. Si tu veux, je peux te tenir informée de son état."

Marine acquiesça, sa détermination renouvelée. "Oui, s'il te plaît. Et Gabriel... merci de m'avoir prévenue."

Gabriel quitta le bureau de Marine, son cœur lourd mais résolu. Il savait que son secret finirais par être dévoilé (comme les musulman si Bardella passe :/) mais il devait se concentrer et ne pas craquer. De retour à l'hôpital, il retrouva Léa, qui l'attendait avec des nouvelles.

"Gabriel," dit-elle doucement, "les médecins disent que Jordan est stable pour le moment. Mais il reste dans le coma."

Gabriel hocha la tête, prenant la main de Jordan dans la sienne. "Nous allons le sortir de là, Léa. Quoi qu'il en coûte."

Les jours suivants furent remplis de tension et d'incertitude, mais Gabriel et Léa continuèrent à creuser, déterminés à découvrir la vérité. L'ombre de Macron planait toujours, mais avec Marine à leurs côtés, ils savaient qu'ils n'étaient pas seuls dans cette bataille.

(jsp si je continue la bromance entre macron et Attal ou si j'y met fin.... vue la video où Bardella parle d'attal ça sent l'amour; video sur tiktok: @delightsel )