Chapitre 1: Vidia et les natures

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La jeune Vidia, fille du marquis Helien, entra dans la salle d'apprentissage, son nouveau professeur l'accueillit avec enthousiasme :
- Mademoiselle, prenez place, s'il vous plaît, nous allons commencer. Je me présente : Derlien Arven.
Le professeur n'était pas encore vieux, une trentaine d'années,tout au plus, mais sa voix était quand même marquée par le temps, nota Vidia. L'homme se racla la gorge et commença son cours :
- Dans un premier temp, je voudrais voir votre niveau et ce que votre précédent professeur vous a appris, parlez moi des natures.
- Les natures sont le liens que chaque êtres vivants ont avec notre monde, commença la jeune fille. Elle permet au êtres doué de conscience de manipuler un aspect de la nature, selon avec laquelle il est née et qu'il éveil a ses 10 ans lors de sa cérémonie. Il existe également des animaux utilisant la nature par instinct, souvent moins puissant que les êtres qui l'utilise consciemment. Il existe 7 natures dites basique : feu, vent, aquatique, terreste, lumière, ténèbres et foudroyante. Elle peuvent également être dites variantes, la glace ou le métal sont des variants, par exemple.
Le professeur hocha la tête avec satisfaction :
- Bien, la cérémonie a effectivement lieu a 10 ans c'est les humains, les autres peuples on chacun un âge différents. Demain, ce sera votre tour, vous eveillerai peut être une nature semblable à celle de votre père ou de votre mère. Mais vous pouvez très bien en éveillé une autre.
Vidia nota ce que lui disait son professeur. Les autres peuples, elfes, nains,Orc, fée, dragon avaient donc une coutume légèrement différente pour l'éveil. La jeune fille se dit qu'elle interrogera son professeur plus tard dessus, aujourd'hui elle devait se préparer à son éveil.
- Professeur, est-ce qu'il y a un peuple qui est éveillé a la naissance ?
- et bien, il y as bien les druides, mais nous savons peu de chose a leurs propos, ils avaient l'air d'être éveillé dès leur naissance, mais ils ont coupé leur rare contact avec les autres peuples il y as une centaine d'années, donc il est compliqué de savoir si cela est vrai ou si c'est une légende.
La jeune élève mit a ce demander pourquoi les druides avez coupé tout contact avec les peuples, même les plus sages comme les elfes et les dragons, mais le professeur n'avait probablement pas la réponse.
À la fin de son cours, elle alla directement voir ses parents, qui semblait discuter d'affaires importantes, même si elle ne comprenais pas tout. Les époux Helien, Edward et son épouse Ariane, accueillirent leur fille avec joie, et firent préparer un thé décidant de prendre une pause:
- Tu a encore reçu une proposition, Vidia, lança son père.
L'intéressée se figeat un instant, un mélange d'agacement et de lassitude dans son regard bleu, et répondit, en remtant une de ses mèches noire derrière l'oreille, qu'elle ne voulait pas y répondre.
Les parents décidèrent de ne pas en rajouter, et commencèrent a discuter de la cérémonie du lendemain, les préparatifs qui étaient finis, la robe de leur enfant qui sera livrée dans l'après-midi, et tout ces choses importantes. Après le thé, Vidia eut plusieurs choses a faire, montrer qu'elle connaissait le déroulement du rituel, ce qu'elle devait faire, essayer la robe blanche qu'elle reçut, pour s'assurer qu'il n'y as pas besoin d'ajustement. Cela lui pris presque toute l'après midi, elle allat donc souper une fois tout terminé. Puis, après une discussion sans importance avec ses parents, lui servant juste a passer du temps avec eux, elle partie se coucher.
Au premières lueurs du jour, Vidia sortie en douce et se dirigea vers une montagne proche du manoir, vers une grotte creuser dans les flans de cette dernière. Là, un pégase blanc immaculé, avec des reflets dorés dans la crinière, était couché, somnolent encore. Il lorsque qu'il vit la jeune fille, il hennit de joie :
-Coucou ma belle, lança avec joie la jeune marquise. Comment vas-tu ce matin ? Et les bébés ?
La femelle se leva, montrant un ventre légèrement arrondie, laissant deviner la grossesse de cette dernière. Vidia s'apprêta à parler quand un bruit de toux la stoppa. A l'entrée de la grotte se trouvait Vergil, maître d'armes et chef des soldats du marquis, qui lancer un grand sourire à la jeune demoiselle :
-Je me douté que vous seriez ici, Mademoiselle. Tout d'abord, joyeux anniversaire, et ensuite, vous savez que vos parents veulent que vous évitiez de venir ici seule. Mais bon, pour ce que j'en pense, vous risquez pas grand chose, dans notre domaine. Pouvez-vous me suivre ? Je souhaite discuter un peu avec vous.

L'avènement du druide roiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant