L'avènement du druide roi (Version Prototype)

chapitre 4: Carte elfique

Ererys fouilla le camp des bandits, il trouva des armes, de l'argent, d'autres objets étrange, mais un en particulier attira son intention, une carte, faite dans un papier qui semblait de bonne qualité, à en croire ce qu'il avait appris des quelques marchands qui passaient dans le coin, et qui le prenait pour l'enfant vivant à l'orée de la forêt avec ses parents. Il retourna vers son prisonnier après avoir étudié la carte, elle menait à cette forêt, indiquant la fontaine de vie. L'homme gémissait toujours de douleur, mais cela n'appitoya pas le jeune druide :
- Où t'as eu ça ? Et je me mens pas, je peux le voir, dit-il en reprenant le regard de druide.
- Un noble me l'as donné, il m'a seulement demandé de lui dire si t'as toujours des druides vivants. Je pensais que non, mais faut croire que je me suis trompé. Je peux essayer de marchander, amène moi un adulte !
- Je suis seul ! Hurla Ererys. Maintenant dis moi ce que tu sais sur cette carte, elle est de bonne qualité, et très détaillée.
- Elle est en papier elfique, l'écriture, bien qu'en langue courante, est aussi elfique, ça doit être un elfe qui l'as écrit. Je ne sais pas comment le noble l'a eu
Ererys réfléchit un instant, les elfes ne sont pas censés connaître cet endroit, ni aucun peuple, d'ailleurs. Étudiant la carte de plus près, un détail lui sauta au yeux, il ne l'avait pas noté immédiatement, mais la carte est récente, pas abîmée, aucune déchirure ou vieillissement. Le druide compris que son prisonnier ne pourrait rien lui apprendre de plus, mais il tente de pousser l'interrogatoire, il n'eut cependant aucune réponse concluante.
- Bien, comme tu as répondu honnêtement, je te laisse choisir ta mort.
- Tu ne me laisseras pas partir, hein ? Alors tu-moi sans souffrance , s'il te plaît. Mais avant, dis- moi, tes peuvent vraiment te dire si je mens ?
- Pas du tout, c'était juste pour te mettre la pression, j'ai juste appris à différencier mensonge et vérité.
Ererys saisi une épée d'un des bandits et lui trancha la tête d'un coup sec. Faini s'approcha et leva la tête vers son maître, semblant lui demander quelque chose, que le jeune homme compris immédiatement :
- Oui, tu peux avoir les cadavres, régale-toi.
Allant vers le camp des bandits, il rassembla tout ce qui lui serait utile, arme, projectiles, l'argent, pour les marchands, ainsi que des documents et journaux pour se tenir informé. En observant les dit journaux, il lut que la fille d'un marquis devais passer le rite de l'éveil. Haussant un sourcil, il ne comprenait pas l'intérêt d'en informer tous le monde, ça arrive tous les jours, les rites d'éveil. Lorsqu'il eut fini, Ererys s'éloigna du camp et, quand il fut a bonne distance, leva la main, une rune rouge apparût et un feu se mit a brûlé le camp. Une fois que ce fut fait, il parti sans se retourner. Les jours passèrent et, alors qu'il chassait, Ererys vit Raiin approcher :
- Qu'y a-t-il, mon ami ?
Le renard lui transmis des informations. Un groupe, principalement des soldats, et l'odeur de quatre autres personnes, ils ne semblent pas malveillants, mais Faini était resté à l'écart pour observer. Ererys se dirigea donc faire le point indiqué par Raiin, et vit le groupe. En regardant via le regard druide, un frisson le parcourus, les soldats n'étaient pas spécialement puissant, mais l'un d'entre posséder la nature brassier, une nature semblable a celle de feu, mais bien plus destructrice car amplifier par le vent. Ererys espérait ne pas avoir a affronter un ennemis de ce type, pas si près de la forêt. Il saisi son bâton, accroché dans son dos, et sauta devant le groupe :
- Je me nomme Ererys, gardien de cette forêt, j'espère que vous avez une bonne raison d'être ici !
- Mon nom est Vergil, chef des soldats et maître d'armes de la famille Helien, annonça l'homme au Brasier. Notre présence est de la plus haute importance, nous sommes là car notre demoiselle Vidia, fille de notre seigneur est dans un état inquiétant. S'il vous plaît aidez-nous, jeune druide.