A la naissance, ma bouche était cousu,
Ma peau jaune et mon cerveau dans le mauvais sens.
Et pourtant personne ne m'a prévenus,
Que rien n'irait plus, après ma naissance.
- Arrête de gueuler autant, Lew !
- Comment j'exprime alors ?
- Grandis un peu, t'es plus un enfant Lew !
- C'est des encouragement pour crier plus fort ?
Des années après, mon cœur est obèse,
Mais mon cerveau vorace cris famine.
Il n'a jamais été à son aise,
Sans l'aide précieuse de la codéine.
- As-tu perdu la raison Lew ?
- Non, je ne l'ai jamais eu.
- Te rappels-tu ton vrai nom, Lew ?
- Non je ne m'en souviens plus.
Et les gens hurlent à mon passage, car il y a une infinité de bouche sur mon corps.
Taisez vous nom d'un chien !
La foule blêmit sur mon chemin, car j'ai arraché mes lèvres à mon visage.
Tu ne savais pas que c'était possible, hein ?
Les passants s'agacent quand mon cerveau s'envole par tout les trous dans ma face
Personne n'en est jaloux, c'est certain.
Mon cerveau tourne toujours dans le mauvais sens,
Mon cœur s'enfle et désemplit, sert moi un autre gin.
Fait moi un cocktail xanax, café, codéine.
Je m'en carre le cul de ce qu'ils pensent !
26/05/24
VOUS LISEZ
Lew, ça s'ecrit lew, ça se dit loup
PoetryJ'écris pas, ici je dégueule. C'est pas de la poésie, c'est du vomis (et le vomis, ça rime pas toujours).