Ton sourire

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Quand on séjourne dans nos rêves accaparés par nos propres obsessions, on jette dans l'oubli des pans du passé sans penser vouloir un jour les récupérer.
Puis, on se réveille avec le poids de la fatigue. Prisonnier d'une solitude.
Bien sûr, il existe encore un soupçon d'espoir dans la verdure de nos vies non vécues. L'enthousiasme déjà raviné par les années. À force de patience des souvenirs nous reviennent.
Moi, j'ai gardé ton sourire punaisé dans un coin de mon cerveau.

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