{𝐍𝐞𝐬𝐬𝐫𝐢𝐧𝐞}:«𝐀 𝐥𝐚 𝐯𝐢𝐞 𝐀 𝐥𝐚 𝐦𝐨𝐫𝐭..»

𝐏𝐚𝐫𝐭𝐢𝐞 𝟔 🥀

Al salem aleykoum wou rahmoutoulah y wou barakatou mes petites femmes 🤍 !!

(On répond toujours à un salem les filles s'il vous plaît).

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Je sursaute et je me tourne,quand je le vois j'ai écarquillés les yeux c'était pas Amir sur ce coup..Je suis dans la merde.

Djibril:Oh tu fou quoi a cette heure-ci tu veux j'te défonce ou c'est comment ?

Je savais pas quoi dire comme excuse..Je déteste mentir,surtout à ma famille mais je vais pas dire que j'ai rencontré une mère et son fils et que je suis allée chez eux quand-même ?

Moi:..

Djibril:BAH RÉPOND ?

Moi: J'étais chez Hayat on c'est endormie j'ai pas vu l'heure désolé.

J'avais trouvé que ça à dire mdrr.

Il me regarde dans les yeux pendant quelques secondes et me dit:

Djibril: Ouais,c'était pas compliqué de répondre,la prochaine fois préviens on est pas a paris ici ya que des fous.

Je soupire de soulagement.

Moi:Oui..

Djibril: Vas-y ouvre.

J'ai ouvert et je suis parti dans ma chambre.

J'enlève ma veste et me mets en pyjama je pars faire ma routine du soir et je vais dormir.

[...]

Quelque jours plus tard je me réveille vers 7h30 heureusement il ya des bus toute les 10min.

Je me prépare ect et en sortant de ma chambre j'y croyais pas les yeux, Djibril réveiller devant moi à 8 heures.

Moi:Je crois que je suis en train de rêver je vais aller me recoucher pour voir.

Djibril:ptdrr vas-y ta gueule je t'emmène vien.

Moi:pince moi vite fait.

Djibril:Ta gueule avance.

Moi:Si gentillement demandé.

J'avance et j'appuie sur l'ascenseur.

On descend et on monte dans sa grosse voiture toute moche la.

Moi:Elle est moche ta voiture t'aurais pu faire mieux.

Djibril:Ta gueule je t'ai pas demandé ton avis.

Moi:Toujours aussi aimable.

Il me lance un regard noir.

Moi:Regarde la route là, tes gros yeux.

Et là c'est pas il m'a lancé une chaussette sur ma gueule,UNE CHAUSSETTE ??

Moi:Mais qu'est-ce que tu fous avec une chaussette dans ta voiture ?

Djibril:Jsais pas moi j'ai tout dans ma voiture.

Moi:J'avais remarqué..

Il a commencé à regarder la route mais mon regard s'est baissé vers la boîte à gants entrouverte.

Je plisse les yeux pour essayer de voir ce qu'il y a dedans quand mes yeux se sont écarquiller.

Il y avait un pistolet qui dépassait un peu la boîte à gants.

Sur le coup j'étais choqué je ne voulais plus parler..Cela ne faisait que confirmer mes doutes comme quoi Djibril était dans le haram..

J'étais très dégoûtée de lui et je ne voulais plus lui adresser la parole alors j'ai tourné ma tête vers la vitre en attendant d'arriver.