L'été arrive
Les rires se répercutent
Mon cœur file
Le retrouve
Il le cherche.
Lui, ses yeux, ses joues rouges,
Son sourire, une perche,
Son rire, le bouge.
Ses doigts, ses mains
Mon corps apprend
La sensation qui lui parvient
Addict, qui le rend
De lui, mon cœur s'éprend
Un battement, il loupe
Il s'emballe, lorsque se penche
Ses lèvres sur ma joue.
Je me fige, je l'appelle
Noah, attend
Et d'un seul battement d'aile
Mes lèvres contre les siennes, frappant
Nini
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Les contemplations éphémères
PoesíaParfois Le temps semble infini. Il n'en finit pas. Parfois Les moments ne semblent durer qu'une seconde Parfois Il faut juste capturer ce moment Qu'il vive éternellement
