XXI

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—CHAPITRE VINGT ET UN—

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—CHAPITRE VINGT ET UN—


















L'armée narnienne a chargé vers le château, entrant sous la porte à moitié ouverte et dans la cour, criant du haut de leurs poumons alors qu'ils avançaient dans la bataille.

Peter dégage son épée, se tournant vers les nous. Caspian et moi dégageons également nos épées, et Susan s'est préparée à s'en prendre à sa flèche. Nous nous sommes retournés pour rejoindre leur armée alors qu'ils prenaient position.

- Pour Narnia ! Peter crie, tenant son épée alors qu'ils se chargeaient dans la bataille. J'ai ressenti une petite douleur de culpabilité d'avoir dû ignorer le lion qui avait commencé tout cela, celui qui a vraiment rendu leur liberté aux Narniens. Je secoue la tête face à mes pensées.

Ne pense pas à lui.

Ignore le comme il l'a fait avec toi.

Mais il est ton père.

Il t'a considéré comme sa fille

Mais au lieu de crier le cri de bataille comme Peter l'avait fait, je murmure à moi-même sans pouvoir m'empêcher.

- Et pour Aslan.

Je fais un faible grognement avant que ma propre épée ne s'affronte contre celle d'un soldat. En utilisant mon coude pour le mettre dans les yeux du soldat, je l'aveugle avec succès pendant un moment et lui coupe l'abdomen, du sang jaillissant dans le processus.

J'alterne entre mes couteaux, mon poignard et mon épée, les coupant alors que mes lames percent la peau des soldats. L'adrénaline s'est précipitée dans mes veines alors que je ressentais un nouveau sentiment d'euphorie.

Juste au moment où un soldat était sur le point de me frapper, je me penche et avec mon poignard coupe l'arrière de ses genoux et me lève derrière lui, le poignardant profondément dans le dos. Je rencontre le regard à Peter et pendant une seconde, Peter semblait être en transe.

J'étais sur le point de faire demi-tour lorsque j'aperçu un soldat qui venait derrière Peter dans sa vision périphérique. Dans un mouvement rapide, je balance une petite lame dans cette direction, ne donnant même pas à Peter le temps de se pencher pendant que la lame passe devant lui et se jette dans le cou du soldat qui était sur le point de balancer son épée sur le grand roi. Je ne laisse pas le temps de me remercier que je pars affronter ma prochaine victime.

Point de vue externe :



- Archers ! Le soldat, qui semblait diriger ses troupes, les a appelés qui ont commencé à s'aligner en formation sur les murs qui dominaient la cour. Valentina les regarda avec un froncement de sourcils sur le visage, elle a pensé à siffler à son gryphon et à décapiter ces hommes un par un avec l'aide de la créature, car si les archers tiraient leurs flèches sur les Narniens, ce serait fini.

Le Protecteur - Edmund Pevensie Où les histoires vivent. Découvrez maintenant