À son réveil, Max est seul dans la chambre, sur une commode il trouve ses affaires lavées et repassées.
Il regarde sa montre 23 heures, il est trop tard pour aller faire son rapport à sa cliente, il s'habille, il reprends ces affaires, les mets dans ses poches et descend dans le hall.
Moxy vient à sa rencontre, elle porte un bustier et jupons blanc avec des longues bottes noires à lacets, ces cheveux de feu sont en pagaille.
Elle le prend part le bras, elle l'embrasse sur la bouche, elle le conduit dans un salon où il y a un bar et des tables, il reconnaît certaines personnalités politiques et d'affaires.
Moxy le fait s'assoir.
"Tu as faim et soif mon chou ?"
"Oui, mais il n'y a pas plus agréable nectar que ton jus d'amour et de repas que ta peau, ma belle diablesse."
Moxy éclate de rire, un rire crystallin qui raisonne comme une douce mélodie.
"Mon cher détective, mangeons et buvons, je suis entièrement à toi cette nuit."
Max rougis, il se racles la gorge et pour seul parole il arrive juste à lui sourire.
Monsieur Walker a sorti le grand jeu pour Max, un repas somptueux, des boissons de qualitées et Moxy.
Max comprends très bien qu'il va devoir mentir à madame Walker, mais pour l'instant il compte bien profiter du moment présent.
Il est presque 1 heure 30 quand ils finissent leur repas, ils vont vers le bar ou se trouve un orchestre, Moxy propose un verre.
La musique jazz est très vives, mais pour Max il est temps de rentrer chez lui.
"Ma diablesse tu m'as fait découvrir un jardin secret des plus intéressants mais j'ai du job toute à l'heure, au revoir beauté."
Il vide son verre de whisky d'une traite, il embrasse Moxy avec fougue, il lui mords la lèvre inférieure jusqu'au sang et il part sans se retourner.
Max quitte la somptueuse demeure, il pleut toujours, il remonte le col de son imperméable, il ajuste son chapeau , il s'allume une cigarette et s'enfonce dans la nuit mouvementée de New-York.
Au première heure du jour Max ouvre son bureau, il regarde le courrier posé sur son bureau par sa secrétaire Julia.
Il pestes contre tout le monde, ces factures l'écrasent, la pression est intenable.
Julia arrive enfin au bureau, c'est une magnifique jeune femme au cheveux blonds, elle les plaque sur sa tête, elle s'habille toujours la même chose une jupe qui couvre ces genoux, fendue jusqu'à mi-cuisse, des bas, un chemisier avec le décolleté ouvert jusqu'à la naissance de sa poitrine.
Max la préviens qu'il doit aller faire son rapport à madame Walker et il espère ainsi être payer.
À la sortie du bâtiment deux hommes embarquent Max dans une automobile.
Il se laisse pas faire, il distribue quelques coups de poing.
"Ça suffit."
Crie une voix autoritaire.
Max s'arrête et il regarde dans le fond de la voiture il reconnaît monsieur Walker.
"Vous pouviez pas juste m'inviter à bord."
"Veuillez excuser mes hommes, mais je dois vous parler de ma femme."
"Et pourquoi ça ?"
"Comme je voulais fait comprendre hier, elle ignore mon activité, je veux juste m'assurer que vous allez rien de compromettant."
"Je me suis renseigné sur vous et votre travail dans les transports reste la solution la plus crédible, alors pas de craintes, monsieur Walker."
Walker tend une enveloppe avec plusieurs centaines de dollars à l'intérieur.
"Soyez convainquant, il en va de la paix de mon ménage."
La voiture s'arrête et les hommes de main le jette dehors.
Max se relève,il s'arrange un peu, il prend la direction de chez les Walker.
La visite est très courte.
Il raconte avoir suivi monsieur Walker à son bureau et dans les différents clubs réserver aux hommes et qu'à aucun moment il l'a vu avec une femme durant ces deux semaines de filature.
Madame Walker est reconnaissante, elle le remercie, il se fait payer et il rentre chez lui à son bureau.
"Julia, s'il vous plaît prenez l'argent pour régler mes dettes, votre salaire aussi et je vous donne congé jusqu'à lundi."
Julia prend ces affaires, mais au moment de quitter le bureau elle voit Max prendre une bouteille de whisky et un verre, il se pose sur le canapé et il boit pour oublier.
Max dors sur sont canapé quand il se fait tirer parterre.
Il a toute les peines pour ce reveiller, il se lève difficilement, mais le pot d'eau le secoue d'un coup.
Devant lui ce tiens Moxy, il la prend part le bras, il veut lui donner une claque et il se retrouve au sol.
"Aller Max debout, ça suffit de faire l'enfant."
Elle le prend par le coup, elle le fait s'assoir à son bureau.
"Max, j'ai besoin de vous."
"Et pourquoi ma chérie."
"Max c'est très grave, monsieur Walker a disparus et sa femme aussi."
"Ils sont plus mes clients alors c'est plus mon problème."
"Max, j'ai besoin de vous, je ne peux pas compter sur mes collègues."
"Collègues?
"Je suis comment dire, infiltrée au pres de monsieur Walker pour le surveiller."
"La bonne blague tu es policière"
Pour convaincre Max, Moxy montre sa plaque de police.
Là il en revient pas, il se resserre un verre.
"Alors diablesse tu as fait comment pour rentrer à la police, tu as coucher avec le chef?"
"Max tu me déçois, regarde le nom sur la plaque."
Il prend la plaque.
"Molly Sullivan, tu.... tu.... es la fille du chef de la police."
Moxy.... Molly lui raconte tout l'histoire qu'il doit savoir pour son entrée à la police et pour son affaire.
"Max, il est impératif que personne ne sache qui je suis, alors on vas aller au bordel pour le reste de la nuit et tu continues à m'appeler Moxy."
"Bien mademoiselle Moxy."
Ils sortent du bureau de Max, ils arrêtent un taxi, ils montrent dedans.
Après quelques minutes Max remarque qu'ils sont suivis, il donne une autre adresse au chauffeur.
Mais lorsqu'ils sont à la hauteur du métro, Max fait ralentir le taxi et à la sortie du virage ils sortent du taxi, l'automobile qui les suivait continue leur route.
Max et Moxy prennent le métro pour une planque qu'il a dans le nord de la ville.
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Maximilien détective privé ( En Pause)
Fiksi Umum🔞 Pour Max une simple affaire d'adultère va devenir l'enquête de sa vie. 🔞 Attention scène de sexe, de violence. Pour un public averti 🔞 Toute ressemblance avec des faits et des personnages existants ou ayant existé serait purement fortuite et ne...