L'inconnu

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mon cauchemars  se répété en boucle dans ma tête. le moment ou j'ai cru  je suis bel et bien réveille, je réentends les cris stridents dans ma tête. mon cauchemar. j'ai toujours essaye de laisse tomber ces hallucination, cette horreur mais en vain. je prends ma tête en main, espérant que tous s'arrête, les cris et le mot. un mot que je ne comprends pas mais qui e cesse pas de se répéter dans les coins de mon esprits. mon cou me brûle. je ne comprends rien. je lève la tête pour voir la personne qui m'as réveillé, qui a chuchote un mot que je suis sur que j'ai écouté quelque part, mais ou ? j'ai aucun réponses. j'essaye de regarder? mais je me sens perdue, ivre. je ne distingue rien, rien que des  yeux bleu perçant. et a ce moment la flamme bleu éclatante de ses yeux me tournoyait la tête. je ne vois rien, ni les trait de cette personne, ni son physique , visage. rien, que des yeux qui me regarde, qui me hantent, qui me réconforte, qui me fait jouir. ma tête bouillonnait. tout ces sentiment, ces pensée dans ma  poitrine me donne une sensation étrange, une folie nomade, qui m'éblouit et a la fois m'effraye. j'essaye de casser ce contact, mais impossible. je suis enracine dans cette éblouissante vue.  il parait q'on se regardait gelé depuis des heures. mais je suis prête a le regarder jusqu'à la fin des temps , cet inconnue. 

-monsieur Jace...

le garçon de toute a l'heure apparut devant lui. il se sens intrigue quand il a vue nos regard, et nos corps  gèle. le moment ou il a prononce ces quelque lettres , il a étais  fusse par des regards brusque; les siennes. derrière lui une femme de quarantaine a  peux prés. 

- madame c'est elle la fille, qui cherche sa sœur.. qui s'est installe dans la chambre de monsieur. elle me fixe de yeux et lui la fixe elle. 

ou est la bague que je vous est donné? questionna-elle

il montre une bague

très bien, très bien. ton père te cherche vas-y. 

le moment ou il s'est retournée pour un dernier regard, il était empêche par la femme . 

il part, elle entre. 

-Lana marin ? 

j'hoche ma tête 

- très bien. habille toi. malcom  appelle sa sœur

- a peine 5 minutes et El apparut, affalée. 

- c'est ma sœur madame, elle est en vacances, chez moi. mais elle ne sait rien et elle n'as rien fait et je te promets que 

-c'est bon bon, déjà je connait tous. c'est pas grave. il faut que j'aille, et fait attention. 

elle part quant a El me prends par les bars pour rentrer a la maison. 

-c'est la jumelle de la femme du maire. une femme importante et sérieuse. 

a la maison,sans même se changer en pyjama,on s'installa sur le divan du salon. El me câline, alors je mets ma tête sur son épaule, les moments passent. alors  je me rappelle d'un paragraphe que j'ai déjà lu,ils décrient exactement ce que j'ai sente a toute a l'heure 

'' cependant le charme opérait peu a peu. ta danse me tournoyait dans le cerveau, je sentais le mystérieux maléfice s'accomplir en moi, tout ce que du veiller d'endormait dans mon âme, et comme ceux qui meurent dans la neige, je trouvais du plaisir a  laisser venir ce sommeil. ''

je dors paisiblement, et je laisse --cette journée, ces yeux -- tomber. 



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L'Alpha' ㅂOù les histoires vivent. Découvrez maintenant