05 It wasn't peace

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Je ne veut pas que ça soit réel, c'est faux

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Je ne veut pas que ça soit réel, c'est faux.





Emalyn

Je le regarde d'un air ahuri, il a été la fac de mount Saint-Vincent, peut-être qu'on s'est croisé sans même se parler, ou que nous avons probablement échangé des regards neutres.

— Donc, si je résume bien, toi et ton amis Soyuz étiez dans la même fac qu'Avhi, c'est ça ? Dit-je en essayant de comprendre la situation.

— Si tu as bien suivi l'histoire Bambi, oui, affirme-il avec un sourire narquois.

Je souris légèrement face à sa réponse impitoyable et de son arrogance médiocre. Je n'arrive du tout pas à y croire, j'ai tellement de questions en tête à lui poser, en qu'elle classe était-il , si il m'a déjà aperçu, si il a connu Avhi personnellement ou si... il a eu une relation avec elle, et qu'elle me l'a caché. C'est trop, au fond, je me disais que ce n'était pas si bien et qu'avec ça, on pourra potentiellement avancer sur l'affaire, si il veut que je sois leurs bras droit avec la police, alors c'est mieux si j'ai un allié en commun, comme Vlad.

Enfin c'est ce que je croyais.

— Moi aussi j'ai été a Mount Saint-Vincent, déclaré-je, J'étais dans la même classe qu'elle, en cinq A, et peut-être que j'avais vu ton ami avec Avhi.

Il adosse son dos contre la chaise et croise les bras, et se contente de me regarder.

— Quoi ? Répliqué-je agacé et gêné.

Il ne s'accommode pas de répondre mais de me déstabiliser avec son regard imprévisible. J'arrive pas à croire que je vais devoir enquêter sur le meurtre avec lui.

— Rien, il lâche un sourire taquin.

Je baisse mon regard vers ma feuille toujours en main.

— Je peux avoir la feuille ? Dit-il en prenant la feuille de ma main avant que je ne réponde.

Mon regard se pose vers lui, je lève un sourcil.

Il va vraiment m'énerver.

— La politesse c'est pour les chiens ? Je pouffe avec nonchalance.

Je lui reprends violemment la feuille qu'il tient. Son sourire narquois grandit de plus en plus.

Je le scrute âpreté, toujours en attente d'une excuse.

— Tu vas me regarder encore longtemps ? dit-il.

Je lève les yeux au ciel et détourne les yeux. En sortant ma pochette je feuillette les papiers éparpillés sur la table.

𝐋𝐄𝐒 𝐅𝐈𝐋𝐒 𝐃'𝐀𝐏𝐓𝐄́ Où les histoires vivent. Découvrez maintenant