𝟢𝟥.𝒱𝑒𝓇𝒾𝓉𝒶̀

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" La verità è così oscura in questi tempi e la menzogna così stabilita, che a meno che non si ami la verità, non si possa riconoscere."

Elyo

- Il faut te réveiller mon chou !

Je me réveille alors en sursaut pour rencontrer le visage de Marco. Il est assit sur mon lit, à côté de moi en me caressant les cheveux. Un grand sourire étire ces lèvres.

- Je te jure, que si tu n'arrête pas toute suite de me caresser les cheveux comme si j'étais un chien, je te coupe la main et la donne à manger aux cochons !

Il enlève brusquement sa main face à ma menace. Il descend alors de mon lit et se dirige vers la porte, la main sur la poignée.

- Dépêche toi de te lever et de t'habiller. Eduardo veut nous voir dans son bureau dans 20 minutes.

- Quoi ? Qu'est-ce qu'il nous veut encore ce vieux rider ?

- Je ne sais pas. Mais il m'a dit que c'était important.

- Il me CASSE LES COUILLES ! La dernière fois qu'il a dit que c'était important, j'ai jouer les baby-sitter pour une fille à papa !

***

Nous prenons l'ascenseur, direction le dernier étage. Une fois les portes de celui-ci ouvertes, une jeune femme nous accueille en nous demandant de la suivre.

- On parie combien qu'ils couchent déjà ensemble ?

- Arrête un peu, oh ! Tieniti corretamente. Perché sappiamo entrambi come andrà a finire... ( Tiens toi correctement. Parce qu'on sait tout les deux comment ça va finir...) Me dit Marco

- Suivez-moi. Monsieur Marquez vous attends dans son bureau. Affirme la jeune femme, pas si jeune que ça finalement.

- Oh, por favore (s'il vous plait), arrêtez avec votre fausse politesse. Nous savons très bien, vous et moi que vous couchez ensemble ! Je lui affirme.

Choqué par mes propos, elle se retourne, gênée, les joues rouges. Finissant ensuite par s'étouffer.

- T'es vraiment un abrutit. Me dit Marco en me donnant une tape derrière la tête.

- Aïe. Mais pourquoi t'as fais ça ? On sait parfaitement tout les deux, que c'est vrai. Je ne fais que de balancer les faits. Ce n'est pas de ma faute, s'ils ne savent pas être discrets.

- Mais, tu es vraiment con ma parole !

Elle pousse les grandes portes de son bureau et nous laisse entrer. Une fois tous à l'intérieur, elle les refermes derrière nous. Nous laissant seuls. Une odeur nauséabonde effleure mes narines, ce qui me répugne.

- Eduardo, je ne sais pas ce que tu fais avec ta secrétaire, mais cette odeur de sex qu'il y a ici, me donne la gerbe.

- Je vois que vous avez rencontré Luna, ma femme. Me dit-il

- TA FEMME ?! Crions nous

- Mais t'es vieux et tout ridé. Et il y a quand même des femmes qui veulent de toi. Alors que moi, je ne sais pas depuis combien de temps ça fait, que je ne t'ai pas touché à une fille. C'est frustrant ! Déclare Marco

- Haha. Luna recherchait un travail. Elle avait besoin d'argent pour nourrir son fils. Alors, voyant sa détresse, je l'ai embauché. Elle est mon assistante personnelle mais aussi la secrétaire.

- Ah, parce que en plus, elle a un enfant ! Mais est-ce qu'elle est au courant de qui tu es vraiment ? Elle sait aussi dans quoi elle s'embarque ? Lui demandais-je avec sérieux.

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⏰ Dernière mise à jour : Jun 23 ⏰

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