Prologue

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Été 2024, on pensé que rien ne serait plus terrible que le Covid-19, on se trompait. D'autres variantes de différentes maladies sont arrivées et on ravager la population mondiale. Le port obligatoire du masque est revenu, les gestes barrière et tout le tralala. Un nombre de décès qui avoisiner les deux milliards. Deux milliards sur 7,83 milliard de la population mondiale cela commence à faire. À ce jour toutes les personnes que l'on croise dans la rue avaient perdu un proche lors de cette nouvelle épidémie, un voisin, un ami, un membre de la famille, certaine sont même morte à cause du masque, car oui même les masques sont un danger. À cause de petite particules qui se détache du masque et vont se loger directement dans les voies respiratoire, d'autres ont fait des pneumonies ou autre maladies à cause de l'humidité et du CO2 qui restait présent dans le masque et repartez dans les poumons.

C'est mon cas, j'ai perdu toute ma famille, je suis une survivante si on peu appeler ça comme ça. Ma survie doit être du au fait que quand le premier membre de ma famille, le frère de ma mère l'a attrapé, j'étais en voyage humanitaire dans les îles Samoa, un des seul pays non touché par cette épidémie. J'étais parti là bas pour aider à apprendre le français à des jeunes enfants. Voulant être maîtresse d'école, et sachant parler français et anglais, ayant une mère française et un père américain, je maîtrise les deux langues. J'étais donc là bas, et quand cette quatrième vague c'est déclaré en France, le pays où j'habitai, il m'a été impossible d'y retourné, aucun avion ne pouvais franchir la frontière française, d'ailleurs d'aucun pays aux alentours. Je suis donc resté un an de plus aux îles Samoa.

Chaque jour qui passé j'apprenais qu'un autre membre de ma famille attrapais cette saloperie et en mourait, sans que je puisse leur dire vraiment au revoir. Bien sur comme tout le monde on se voyait en vidéo-conférence, mais comment vivre à travers un écran, comment exprimer l'amour qu'on a pour les siens sans pouvoir leur parler de vive voix ou les serrer dans nos bras. Voila aujourd'hui je suis la dernière survivante de ma famille. Il doit me rester quelque membre aux États-Unis, du cotés de mon père, mais je ne les connais pas.

Il y a de cela environ un an, des hommes et des femmes sont arrivés, et ce sont adresser à tout les représentant de tout les pays, se présentant comme les dieux et déesse de la mythologie grecque. Au nombre de six, faisant parti de la génération des dieux mineurs, ceux qui régnait sur l'Olympe dans la Grèce antique au cinquième siècle avant Jésus-Christ, autrement dit Hestia, Hadès, Déméter, Poséidon, Héra et Zeus.

Foutaise, au départ tout la population mondiale pensé qu'ils venaient tout simplement d'une secte de grand illuminé, qui pensé prendre le contrôle de la Terre. Ils promettaient de rendre l'air plus respirable si on les écouté et surtout ils avaient un remède pour vaincre le Covid-19. Les chefs d'états leur avait rit au nez, comme le reste de la population.

Un jour lors d'une énième apparition sur les chaînes télé, alors que deux d'entre eux de ces soit disant dieux, Zeus et Poséidon se trouvait à Liberty Island, ils adoraient être remarqué, et quoi de mieux que de faire une conférence de presse au pied de la statue de la liberté. Lors de cette conférence comme d'habitude ils soigné un homme ou une femme atteint de cette maladie qui ravagé notre monde depuis plus de dix ans. Mais personne n'en croyait un seul mot. Ennuyé, et rempli de colère, que personne croit à leur remède et aux autre contre les différentes maladies, et encore moins sur leurs identités. Ils dévoilèrent une autre particularité qu'ils avaient.

Zeus dieu du ciel et de la foudre leva sa main en l'air et déclencha une tempête, et un éclair parti directement du bout de ses doigts jusque dans le ciel. Tandis que Poséidon, dieux des océans se concentra et éveilla les eaux autour de Liberty Island se qui provoqua des vagues de plus de vingt mètres de haut qui s'écrasait sur le dos de la dame liberté.

La population mondiale avait commencé à croire aux dires des dieux.

Ils avaient donc commençait leur apprentissage comme ils l'avaient appelé. À commencé par avoir une meilleure alimentation, les fast-foods avaient fermé, tout restaurants qui vendait de la restauration rapide avaient mit clé sous la porte. Ne manger de la viande que pour les grandes occasions comme les fêtes religieuse, mariage, baptême. Une nourriture plus saine était enseignée, à base d'aliments sains, avec beaucoup de légumineuses, graines et bien d'autres choses.

Deuxièmement donner un traitement contre toute les maladies existantes à ce jour, en un mois, un remède contre différentes maladie avait vu le jour, et aujourd'hui on pouvait guérir de tout même de maladie incurable comme le SIDA ou encore guérir de n'importe quel cancer sans passer par l'étape radiothérapie, chimio, ablations d'un organe ou autre.

Troisièmement, toutes les voitures étaient munies d'un système comme des panneaux solaires, rechargeable à la lumière du jour. Elles pouvaient faire avec une simple recharge plus de cinq mille kilomètres, autant dire que les hybrides ou voitures électriques des années 2020 peuvent aller se coucher avec leurs cinq cents kilomètres d'autonomie, et au moins cela coûte moins cher, car contrairement à l'électricité le soleil on ne le paye pas. Pour les personnes n'ayant pas les moyens de s'en procurer une, la somme de trente mille euros fut donnée aux familles, ce qui permettait de faire le nécessaire sur leur ancien véhicule pour le changer en cette nouvelle voiture, ce qui la rendait éternelle en quelque sorte. D'autre quant à eux ne veulent pas de voiture et préfère les transports en commun qui ont également été dotés de cette technologie, ainsi que les trains, les avions, et tous les moyens de transport qui existe.

Bien d'autres lois on été mit en place, sur l'éducation, l'économie, les ressources mondiales.

Mais celle que je déteste par-dessus tout et celle de l'insertion, comme ils l'appellent. Autrement dit tous les ans un homme ou une femme est tiré au sort, dans chaque pays du monde. Ces hommes ou ces femmes ont perdu beaucoup au cours de l'épidémie, ou n'ont pas de chance dans la vie et se retrouve à la rue ou leur pays est encore dans une pénurie, bien que presque tous les pays ne connaissent plus cela aujourd'hui. Et donc pour soit disant vivre mieux on leur impose d'aller vivre à Olympus, pour servir les dieux.

Olympus, le nouveau mont Olympe, implanté sur une île presque déserte parce qu'elle ne comporte que trois cents habitant. L'île de Lord Howe, au large de la côte Est de l'Australie, cette île au décor paradisiaque ne pouvait être que le nouveau royaume de ces dieux grecs.

Donc je disais que les personnes tirées au sort devaient aller vivre sur Olympus pour servir un des dieux ou déesses. En clair passé d'une vie de misère à une vie de bonniche. Très peu pour moi, je préfère me trouver un emploi, un mari avoir des enfants, un chien, vivre ma vie comme je l'entends.

Je ne vois pas comment on peut avoir une vie meilleure, alors que l'on sert quelqu'un qui doit considérer la race humaine inférieure pour la réduire à l'esclavage, car oui pour moi servir un dieu, je trouve que c'est être esclave. Beaucoup ne pensent pas pareil que moi, ils disent que c'est un honneur de servir les dieux, on est nourri, blanchi, logé dans un lieu magnifique, pas besoin d'avoir de l'argent pour vivre, tout est fourni par les dieux. D'autres font exprès de perdre leur boulot font tout pour être viré, beaucoup de femmes célibataires, notamment, espère être prise par un dieu. Il faut bien avouer que les trois dieux Poséidon, Zeus et Hadès sont d'une beauté incroyable, musclé, ils dégagent une certaine assurance, ce sont des dieux grecs, d'où l'expression, être beau comme un dieu vient peut-être d'eux. Mais ce n'est pas parce que comme toutes les autres femmes, je ne suis pas insensible à leurs charmes que mon opinion change. Depuis leur arrivée, les opinions diffèrent, chacun à son avis sur la chose.

Et malheureusement pour moi, je fais partie de cette catégorie de personnes, celles qui peuvent être tirées au sort, je suis dans le registre, car oui, il y a un registre avec tous les noms et le mien est dedans. Quand on est inscrit dessus, on reçoit un courrier pour nous l'expliquer. Je pris tous les jours pour trouver un emploi, avoir un salaire et ne plus faire partie de ces gens qui ont leur destin entre leurs mains.

Mais il faut croire que je n'ai pas prié assez fort, car moi Espérance Collins, j'ai été tiré au sort et alors que je croyais enfin quitter les îles Samoa, pour rentrer chez moi en France, une tout autre destination m'attendait, ma dernière adresse allé être Olympus....

OLYMPUS: TOME I :HADESOù les histoires vivent. Découvrez maintenant