ch1:Les temps sont durs

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    Alors que ses examens approchaient à grand pas, Léna n'avait toujours pas commencer à étudier, la tête complètement prise par les nombreux livres qu'elle aimait tant elle en oubliait l'importance de ses études de cirque das la douce ville de Poitiers.

  Toudincou,un appel suspendit sa lecture du petit prince. C'était sa meilleure amie,Fatma bouchnafa une des crackheads de porte de la chapelle qui avait récemment déménagé à Bignoux une petite commune de Poitiers. Elle et Léna s'étaient rencontrées dans le RER B alors que la plus âgée essayait désespérément de gratter une clope à l'autre qui ne fumait même pas. De cette étrange altercation s'en suivit une discussion et une longue amitié entre les deux femmes. 

  "Allo allo y a de la merde dans le tuyau , s'exclama Fatma

a l'huile, répondit sereinement Léna" Les deux amies se racontèrent quelques banalités, partagèrent les derniers bruits de couloirs avant d'en venir au fait.

"Travaille clocharde, rejoins moi. Dit Fatma d'un ton ferme

Où? à Châtelet? rétorqua Léna

Non connasse au café." 

Bien qu'ayant une flemme particulièrement sévère Léna s'habilla et se mit en route pour le café qui n'était qu'à quelques patés de maisons de son petit appartement au crous. Une fois arrivée à destination elle s'installa dans l'établissement et commanda un chocolat chaud en attendant son amie. Elle n'enleva pas ses  écouteurs une seule fois alors qu'elle écoutait l'une des œuvres les plus influentes de ces dernières décennies,j'ai nommé Nabilla de Sofiane dans une tentative de romantisation de sa vie on ne peut plus banale. C'est à ce moment que Fatma fit enfin son apparition et sortit Léna de ses pensées. 

" Tu peux vraiment pas te permettre de rater des premiers partiels de l'année sinon tu finiras comme moi a quémander des clopes à des inconnus dans le train ou à Boulogne comme les bébés du lac de Boulogne. expliqua Fatma sur un ton sérieux et moralisateur,presque politique. "

Sur ce et après une discussion approfondie sur le régime politique ouzbek dans les années 80 Léna rentra enfin chez elle,elle était exténuée et sur le chemin pensait déjà à la nuit de sommeil qu'elle allait passer. Du moins qu'elle croyait passer, en ouvrant la porte de son logement elle vit une lettre portant un tampon de mauvaise augure qui avait été glissée sous la porte, c'était une lettre du ministère des sports.Elle commença alors à la lire et son visage se décomposa peu à peu. Elle avait 3 semaines pour partir de chez elle, elle avait été expulsée pour les jeux olympiques de paris. 

























































Lena x Hugh Dancy  Poitiers AUOù les histoires vivent. Découvrez maintenant