Une semaine s'était écoulée et elle n'était pas repassée me voir. Je ne l'avais pas croisé dans l'immeuble et je n'osais pas non plus aller la voir meme si j'étais persuadé qu'à la seconde même où elle ouvrirait la porte elle m'entraînerait à l'intérieur pour me sucer jusqu'au bout et tout se passerait extrêmement bien, mais j'avais justement peur que ça ne se passe absolument pas comme ça et que je me prenne un refus. Ce simple malaise à l'idée qu'elle me referme la porte au nez me dissuadait d'aller frapper chez elle. J'étais comme ça pour beaucoup de situations et en résumé c'était la peur qui guidait ma vie.
J'étais assis devant mon pc et je repensais à la cage de chasteté qui s'y était trouvée, est-ce qu'elle l'avait réellement vue ? Je n'en savais rien parce qu'elle ne m'en avait pas parlé ni même fait aucune allusion, passé l'étape de la gâterie qu'elle m'avait faite j'avais fantasmé sur le fait qu'elle me domine et pas qu'un peux, je m'imaginais être son esclave dévoué constamment en cage et les clés en sa possession. Durant ce fantasme une brève motivation d'aller chez elle pour la voir et que tout cela se réalise m'avait parcouru l'esprit, mais la raison, ou bien la peur m'avait convaincu de ne pas bouger.
Cette situation me rendait fou de désir et je décidais chaques fois d'expulser cette frustration par le plaisir solitaire devant un porno d'homme soumis et de Femme dominante, je prenais bien mon temps pour sélectionner la bonne vidéo, en l'occurrence je cherchais un physique taillé par la finesse du corp et la grâce des mouvements afin de pouvoir au mieux m'imaginer ma voisine. Mais tout ceci n'était qu'illusion temporaire et ne comblait en rien mes besoins profond d'avoir une Maîtresse qui me contrôle en tout point. N'ayant pas pour habitude de trier mes déchets je me suis mis à le faire avec une tolérance zéro pour que cela m'incite à vider chaque sac que je prenais exprès trop petit pour qu'ils se remplissent au plus vite et que je les descende aux poubelles en espérant la revoir.
J'en profitais également pour me promener dans le quartier pour étendre mon périmètre et donc mes chances de la croiser. Tout ceci partait trop loin à mon goût et finalement à la fin de la deuxième semaine, à bout de patience et sur un cou de tête total je me décidais à aller la voir, je pris ma cage de chasteté avec les clé que je fourrais dans ma poche.
Après le cou de sonnette chez elle le temps parut incroyablement long, mon coeur battait la chamade à l'idée de la voir puis après peut-être 30 secondes le stress retomba car j'en conclu qu'elle n'était pas là et que donc je n'aurais pas à faire face à un potentiel rejet. 10 secondes supplémentaires sans réponse et je tournais les talons pour mettre un pied en avant, avant qu'il ne retombe sur le sol j'entendis la serrure tourner. La tension remonta d'un seul cou et je me retournais, la porte s'ouvrit et je la vis face à moi, un léger sourire en coin.
_ Entre et vas dans la chambre, tout droit au fond du couloir et à droite.
Je voulais répondre mais aucun son ne sortit de ma bouche et sans réfléchir j'obéis. Je venais d'entrer et elle referma la porte derrière elle avant de m'emboiter le pas. A peine rentrés dans sa chambre qu'elle me poussa dos sur le lit pour me sauter dessus et m'embrasser langoureusement, elle s'arrêta puis en se relevant marqua une pause avec son regard perçant, assise sur mon ventre avec les jambes de chaques côté de mes côtes elle demanda à ce que je lui tendent mes mains qu'elle pris par le dos avant de les appuyer sur mon torse et d'y mettre son poids dessus en se penchant vers moi à quelques centimètres de mon visage. J'étais immobilisé et elle en profita pour me révéler :
_ J'ai vu ta cage l'autre jour et je t'avoue que j'aime les petits soumis qui sont sous mon contrôle, exactement comme à cet instant. D'ailleurs tu ne contestes rien et tu n'en feras jamais rien. N'est ce pas ? Son regard était hypnotisant et les paroles qu'elle venait de prononcer résonnaient telle les voix d'une Déesse.
