Dans cette extrême pénombre
Je parviens à peine à la distinguer
Une atmosphère sombre
C'est de la mort dont je veux parler
C'est cette silhouette effrayante
Qui s'avance près de moi
Je suis immobilisé par un effroi
Et cet effroi me hante
De ses doigts rattrapés par le temps
Elle touche mon cœur glacé
Je remarche tout à coup sur mon chemin d'enfant
Ce chemin autrefois si abimé
Je marche sans haine
C'est la fin de mon temps
La mort m'emmène
La mort me prend.
J'arrive.