Je coule.
J'ai mal.
Dans le faible éclairage de mon environnement,
Solitude et Indécision me guident.
Ils laissent couler mon sang,
Pour que le requin de ma vie commette l'homicide.
Je coule.
J'ai mal.
Le requin, détenteur de mon trépas,
Me frôle sans jamais laisser
Ses dents acérées dans ma chair entrer.
Des voix murmurent « elle ne mourra pas »
Je coule.
J'ai mal.
Ici, je ne vois plus la lumière.
Ici, plus rien ne m'éclaire.
Ici, je sombre sans jamais réussir.
Ici, je sombre sans jamais mourir.
Je coule.
J'ai mal.
Où est le fond ?
