On est le quatre février il est onze heure trente-trois, j'entends mon téléphone vibré dans la poche de l'arrière de mon pantalon, je le sort discrètement et j'aperçoit que c'est un appel de la police que me voulaient-ils?? Je tourne mon regard vers ma professeure qui s'avère être la maîtresse de mon père, la manière dont elle me regardez on aurai dis qu'elle voudrait me voir morte, lorsqu'elle continue son cours et retourne son dos devant les élèves je part répondre immédiatement et en discrétion à l'appel de la police devant mon casier,
Arriver devant mon casier,
— Allô? oui bonjour, dis-je au téléphone.
— Bonjour mademoiselle Montgomery je suis navré de vous appeler vous êtes sûrement en cours j'ai eu une très lourde nouvelle a vous annoncer, vos parents sont morts, me dit-il d'une voix désespérée.
— Qu'est-ce qu'il sais passé, lui dis-je d'une vois tremblante.
— Une camionnette et votre voiture sont rentrés en collision nous sommes encore sur les lieu de l'accident et ils nous ont tous quitter le chauffeur de la camionnette et....vos parents, me dit-il.
— C'est pas vrai, lui dis-je en mettant ma main sur ma bouche pour couvrir des bruits de pleurs qui en sort.
— Toutes nos condoléances...oh avant que je n'oublie je devait aussi vous prévenir que vous devrais passer devant le juge maintenant vous aviez rendez-vous à douze heures quarante-cinq faudrait prendre votre petite sœur avec vous, me dit-il la voix derrière le téléphone.
— D'accord sans soucis monsieur l'agent, lui dis-je.
Je raccroche au téléphone je m'écroule tout le long du casier jusqu'à m'assoir par terre je suis anéantie je pleurs tellement que je pouvais pas restez calme j'avais que une chose a faire récupérer Susanne a l'école et aller chez le juge, Je tourne mon regard vers ma gauche et je vois un reflet un homme marche vers moi c'est Ryan je suis en larme il s'assoit près de moi enroule ses bras autour de mon coup je me couche sur son torse bombé j'adore touché ses cheveux châtains sa me calme beaucoup il me regarde par la suite m'embrasse je préviens Ryan de quelques chose,
— Ryan faut que j'aille récupérer Susanne à l'école maintenant, lui dis-je.
— Déjà c'est pas un peu trop tôt, princesse, dit-il.
— La police vient de m'appeler et ils m'ont dit que mes parents sont décédés d'un accident de voiture ; voiture ils m'ont également ditdit que j'ai rendez-vous chez le juge à douze heures quarante-cinq, lui Dis-je.
— Je t'accompagne dans ce cas-là, me dit-il.
— C'est très gentil, mais reste au lycée, lui dis-je.
— Je ne te demande pas ta permission, je viens pour te protéger,toi et ta petite sœur, me dit-il.
Je sourit. Il se lève et tend ses mains pour que nous puissions aller la récupérer.
Quelques secondes après,après, on est dans la voiture de Ryan. Pendant tout le trajet, il me touchait la cuisse. Quelques minutes après, nous arrivons à l'école primaire de Susanne. Elle s'amusait avec ses amis, je la regardais à travers la vitre de la voiture. Ryan été entrain de retiré les clés du contacts de la voiture Quand Ryan me voit, regardez Susanne, il me fait un bisous sur la joue et me dit :
— Jenny Qu'est-ce qu'il se passe ?, me dit-il.
— Je ne veux pas dire à ma petite sœur que ses parents sont morts, lui dis-je.
— Je comprends, mais tu n'as pas le choix, me dit-il.
— Je sais, mais c'est dure, lui dis-je.
— Regarde-moi, Regarde-moi, me dit-il.
Je ne le regardez pas jusqu'à ce qu'il insiste :
— Regarde-moi, me dit-il.
Je tourne mon regard vers lui il me prend par la tête et m'embrasse je me plongeais dans son regard, ses yeux aussi marron:
— Je suis dingue de toi, Jenna Montgomery yeux sont aussi foncés que l'est mon âme sans toi, tes cheveux aussi bruns que l'est également mon âme sans toi, me dit-il.
Je lui sourit pour cette dédicace, je reprends mon souffle, je sort de la voiture avec Ryan et nous nous dirigeons vers la porte d'entrée de l'école primaire. Nous attendons que la dame à l'accueilaccueil nous ouvre la porte, ce qui fait que ça dure un temps fou on est resté une dizaine de minutes devant la porte quand on entend enfin quelqu'un arriver de plus de sa.je regarde l'heure il est onze heures cinquante-neuf,cinquante-neuf, la maîtresse de Susanne ouvre la porte et nous vois :
— oh, bonjour mademoiselle Montgomery, que puis-je faire pour vous, me dit-elle.
— Bonjour, je suis venue chercher Susanne, s'il vous plaît, lui dis-je.
— Bien sûr, je l'appelle tout de suite,, je vous en prie, entrez donc, nous dit-elle.
Nous rentrons et nous marchons tout le long d'un couloir jusqu'à arriver à une salle immense, je vois la baie vitrée que j'ai vue à travers que Susanne s'amuse avec une de ses copines. La maîtresse de Susanne se dirige vers Susanne :
— Susanne, tu viens, ta grande sœur est là,lui dit-elle.
— On rentre déjà, mais il n'est pas encore seize heures, dit-elle Susanne à sa maîtresse.
— Oui, mais je crois que c'est ton rendez-vous ou quelque chose du genre, dit-elle la maitresse et tourne son regard vers moi.
Je m'avance vers,Susanne, je lui tendstends ma main pour qu'qu'elle vienne avec moi :
— On doit aller,aller, Susanne, lui dis-je.
— Mais- Mais je veux rester ici, me dit-elle.
— On n'a pas le choix, lui dis-je.
— Moi, je veux rester ici, me dit-elle.
— Susanne!, lui ordonnai-je.
Je pointe du doigt la direction de la sortie, car je me suis un peu laissé emporter avec elle. Je suis au plus bas, je ne sais pas comment réagir, que faire dans cette situation, de plus qu'on a rendez-vous bientôt. Elle s'avance enfin pour partir, elle s'arrête brusquement, croise ses bras et dit :
— Non!!! Je ne veux pas aller, me dis-elle.
— Susanne, on n'y va pas, lui dis-je.
— Tu vas venir, oui, lui hurlai-je.
Je l'attrape par les bras, je la tire de toute ma force, elle hurle :
— Aïe, tu me fais mal. Jenny ne fait pas mal comme Papa, hurlait-elle.
— PAPA ET MAMAN SONT MORTS SUSANNE COMBIEN DE FOIS VA FALLOIR TE FAIRE COMPRENDRE QUE C'EST POUR ÇA QUE JE VEUT QU'ON PART!, lui hurlai-je.
Je me rendit compte que toute la cours me regardez,oh la boulette, je venais de faire une erreur.
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behind their masks
Mystery / ThrillerVous pensez que vous pouviez avoir confiance en vos proches? Détromper vous peut importe a qui nous fessont confiance nous finissons toujours trahie, Voici l'histoire d'une jeune femme qui a été battue par ses parents, violé par son oncle, kidnapper...