behind their masks

Chapitres 49

Jenna,
Arrivé à la piste d'atterrissage, Je descends les escaliers de l'aviation lorsque ma tête se tourne vers les hôtesse de l'air,

— Restez trois heure ici si vous entendiez des coups de feux et de genre vous cours après fermé la porte et partez, leur dis-je.

— On est sous les ordres de monsieur Gabriel Brown, me dit-elle.

—J'en n'ai rien à foutre vous êtes sous les ordres de son fils a compter d'aujourd'hui, lui dis-je.

— D'accord mademoiselle Brown veuillez m'excuser on vous attendra ici, me dit-elle.

— Bonne idée nous allons sauver monsieur Brown de ses mafieux italien bonne chance, leur dis-je.

— A vous également, me dit-elle.

Je part avec les autres car la voiture étais la, elle est foncé Nolan avais du mal à monté, je le regardez touché le poignée de la porte et il n'ose pas monté,

— Nolan?, dis-je.

Il sursaute, je fronce les sourcils et ils M'ont dans la voiture pour finir, je monte du côté conducteur il fessait nuit et on commençait le chemin je m'imaginais pas a Washington sa me fessait flippé Amélie étais encore à côté de moi mes mains touche le volant, je me suis posez des questions et j'avais peur de cette ville de mon ancienne ville la ou j'ai tout vécu j'étais sur l'autoroute j'ai qu'une chose en-tête c'étais de retrouver Rafe et partir loin de cette enfer infernale,
Mon regarde se tourne vers le compteur de vitesse de la voiture je fessait pas gaffe à l'autoroute je fonçait, j'entendais une voix dans ma tête qui me disait de continué à foncé peu importe les circonstances j'étais prête à mourir pour lui mais la il étais pas la, j'avais pris une pelle que j'ai oublié dans le jetprivé au cas ou je devait les assommé avec je devait le protéger, des cris autour de moi me fessait réalisez que je rouler dans le sens inverse que d'habitude, je fonce vers celui ou je devait rouler normalement,

—  TES FOLLE OU QUOI, me hurlat-il Nolan.

J'avais une rage quand le GPS dis,
> Dans 500 metres prenez la sortie a droite.

Je roulait pendant tout la route je pensez à Rafe et surtout à ma vie ancienne d'ici, je n'avais pas envie que il arrive un accident mais je devais arrivé dans mon ancien chez moi dans trois heures de route je devais restez à contrôle le volant trois heures,

— Tu veux que je conduis?, me dit-elle Taylor.

— Mais ta pas le permis, lui dis-je.

— Aïe sa fais mal, lui répondit-il.

Je ne m'arrête pas Jusqu'à arrivé des heures après il me restez trois kilomètres avant d'arrivée et il y a encore ce foutu embouteillage qui nous empêche de continué notre chemin mais petit à petit on continue à avancé, Je commence a m'énerver et je klaxonne sur les autres voitures commence à s'avancer petit à petit j'avais la haine, j'étais prête à les rentré dans quand enfin il avance je mets les clignotants pour passer la première sortire, Je reprends le chemin pour aller dans mon ancien chez moi j'avais envie de gerbé quand je revois mon ancien maison un voisin sort de la maison, et me voit avec des armes,

—  Bonsoir mademoiselle Montgomery, dit-il.

— Bonsoir M.Friederman faut que je vous laisse, dis-je.

Je rentre avec mes équipe j'avais peur la porte qui mène ai sous sol étais ouverte en même temps c'étais une cave, Je descendit l'arme face à moi, je fais signe au autre de venir, ils viennent d'arriver,

— Vous êtes prêt?, muremuai-je.

— Et toi tu est prête à mourir, dis-une voix que je reconnais je me tourne.

—  César, dis-je.

Il tente de m'assommer d'un coup de point le frappe à la rotule et le tire dessus avec mon flingue, sur le crâne et en suite le cœur j'ouvre la porte du sous sol pour ce trouvais les autres ils rentrent, on s'avance tout doucement jusqu'à trouver Rafe j'étais apeurée et impatiente de le retrouver les cave étais fermé mais au fond ce trouve Rafe avec les hommes ils étais tous cagoulés, j'étais flippé, Je me sentait mal de laissez voir Nolan regarde Rafe couvert de sang torse nue, il avais une chemise, son corps étais brûlé par des cigare il étais vraiment la pour le tué le cadavre de César Amélie la mis dans une poubelle, j'étais entrain de rêver du moins j'espérais que je rêvais mais pas du tout c'étais cent pour cent vrai je rêvé pas il continue a l'abattre,

—  chi è questa ragazza?, lui demandat-il.
(Traduction : Qui est cette fille)

-— il mio mondo, non ti direi nulla di lei che non condivido, répondit-il.
( mon univers je vous dirait rien d'elle je partage pas)

Il se prends un coup de la par de l'homme qui venait de le posez des questions Amélie, Taylor, Nolan me répondez comme si ils venait de comprendre quelques chose, moi je le regardez d'un air de haine ils commencent repartir on se cache derrière une poubelle, assez grande pour nous protéger,

—  Vous trois vous allez tué ses hommes je reste pour sauver Rafe,leur dis-je d'une voix base.

Il partent déjà pour tué les hommes moi je me trouver derrière la poubelle encore lorsque je commence à sortir de ma cachette, je me retrouve face à Rafe, je lui sourit une larme commence à coulé,

— vaffanculo, non ti dirò niente di loro, dit-il.
(Aller vous faire foutre je vous dirais rien d'elle)

—  Rafe, lui dis-je.

Je sourit quand son regard tombe sur le miennes je court vers lui pour le détacher je le détache,

— Jenna s'il te plaît va t'en, dit-il.

—  Non je-, dis-je.

Son regard tourne derrière moi je me tourne quand je vois l'un des hommes avec larmes colé contre le front de Nolan,

— Si tu le détache je-, dit-il une silence s'installe.

Et un bruits fais résonné la sale et le sang éclaté dans toute la pièce c'étais Taylor et Amélie elles attrape Nolan qui était de tombé je m'accroupie vers Rafe je le détache les bras et les pieds, ni une ni deux il saisit ma main et m'avance vers son visage pour m'embrassé ma bouche touche celle de Rafe, on venait de s'embraser par la suite je l'aider à ce relèver pour aller dans le jetprivé je laissé Amélie conduire et je restez avec Rafe et Nolan derrière ma tête étais contre le torse de Rafe il me caresse la joue les deux étais pas joyeux de monté dans cet voiture moi non plus de revenir à Washington.

— Tu est vraiment  folle d'avoir  fait ça. Je retire tout ce que j'ai pue te dire tu est pas une trouillarde. Tu est une combattante, me dit-il.

— Oui je suis folle, dis je avant de continuer part, Follement amoureuse de toi.