Chapitres 4

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Dès jours après avoir habité dans la maison de Carla, il fait jours nous avons trouvé une école pour Susanne je devais la ramèner à l'école primaire le temps qu'on marche je lui demande si elle se plaisait là-bas  elle me dit des nouvelles ça fais 10 jours qu'on est ici et je n'ai toujours pas nouvelle de Ryan arrivé devant l'école je sonne à la porte un homme débarque près de moi, c'était Rafe évidemment celui-là toujours là au mauvais moment il est accompagné d'une petite-fille je fais comme si de rien était il se rapproche de moi et se penche pour sonner la porte :

Oh tiens, Jenna, je t'avais pas vue, me dit-il.

— Sans blague ?, lui questionnai-je avec un sourir forcé.

C'est la petite sœur d'Anastasia, je te présente Stacy, dit-il.

D'accord, lui dis-je en arquant un sourcils, Je n'avais rien demandez.

En levant les sourcils quand une maîtresse ouvre la porte, enfin elle l'ai prends elle nous ferme la porte dessus quand je me tourne pour me diriger vers ma voiture :

Écoute, j'ai fait une promesse à ton frère avant qu'il meure, me dis il.

D'accord, et ?, questionnai-je.

Jenna, il m'a demandé de te protéger parce qu'il sait que tu es sensible, me dit-il.

Tu veux faire une promesse à moi ? D'accord, laisse-moi vivre, lui dis-je.

— Jenna écoute, je ne te laisserai pas partir bordel de merde,dis-t-il.

Merde!! Moi, je te demande de me laisser faire ma vie sans toi, lui dis-je.

A peine monté dans la voiture de tante Carla et je conduis et je regarde part le rétroviseur que monsieur roule à moto derrière moi arrivé dans un chant réussit  a me dépasser s'arrête devant moi et s'arrête j'étais à deux doigts de le heurté je sort de la voiture il fessait sombre je m'avance vers lui et je le bouscule avec mes bras :

Tu n'es vraiment pas nette, toi ! , dis-je.

Quoi qu'est qu'il y a encore, je voulais juste discuter avec toi, Jenna, me dit-il.

— Et moi, je voulais juste que tu me laisse tranquille d'ailleurs je le veut toujours, lui dis-je.

Je veux tenir ma promesse, dit-il.

— Tu peut tenir ta promesse loin de moi ?, lui dis-je.

— ton frère est une bonne personne, me dit-il.

— Je le sais, lui dis-je.

Pendant que nous discutons il commençait à dragée la pluie était de plus en plus forte je me retrouve toute trempée lui également on est a quelques centimètres l'un de l'autre quand je le vois bouger un pied et commencé a avancé vers moi je me rappelle encore ses beaux Yeux bleu de ses cheveux brun qui recouvrent presque ses yeux ses cheveux commencent à devenir foncés à cause de la pluie j'avais si peur il était habillé de manière  très gang comme s'il allait a un enterrement j'étais épuisée de le voir surtout que là il n'est que Huit heures vingt-quatre du matin je pouvais plus me le voir je me retourne et je me dirige vers ma voiture je démarre pour partir :

—  Je le déteste énormément pourquoi il a dis ça, ce connard pourquoi  il se colle a moi  il a osé faire ça, en plus il est venu à New York, super ma vie, dis-je

Je continue à parler lorsque je vois que mon téléphone vibrer sur le siège de la voiture. Je le prends, je regarde qui sait et c'est ma belle-mère Chanel. Qu'est-ce qu'elle me voulait ? Quand je sens le sol tremblé je pense que c'était un tremblement de terre et j'entends également une moto derrière moi je regarde par le rétroviseur vite fait quand ce motard fonce à toute vitesse face à moi je fus sursauté et je vois Rafe qui se met devant la voiture je ne pouvais pas la rayer sinon Carla elle va me tuer je fais comme si de rien était je le dépasse et il revient encore et ainsi de suite j'essaie de tous les moyens qu'il me laisse, mais rien quand je le regarde, lui fais pareil je soupire et a ce moments-là une voiture heurte la moto de Rafe je sursaute je freine brusquement le conducteur a pris la fuite je détache ma ceinture de sécurité et je me précipite vers Rafe je l'aide à retirer son casque il n'avait rien encore heureuse je soupire :

Eh bien !, qui l'aurait crue trouillarde ? Je savais que tu aurais eu peur pour ma vie, me dit-il.

Je t'en veux, tu sais, de ne pas être venue au plus vite, me dit-il.

Espèce de connard, dis-je.

—  Oh, cela fait mal, me dis -il.

Ta gueule, Brown !, dis-je.

Ah vos ordres, princesse Montgomery, me dis il.

—  "princesse Montgomery"??, lui  questionnai-je.

Oui, princesse Montgaudry, répèt-il.

Je suis moche. Je ne peux pas ressembler à une princesse, lui dis-je.

Aucune princesse n'est moche, Jenna, c'est donc pour ça que je t'appelle princesse, dit-il.

Je lui souris, il fait pareil, on se fait un câlin, je l'aide à se relever :

Tu es sûr de ne pas vouloir monter dans ma voiture ?, lui questionnai-je.

Si je vais l'accrocher à un arbre, me dit-il.

Il l'accroche à un arbre pendant que moi, j'attends qu'il finisse, je suis dans la voiture au chaud. Après 5 minutes à attendre et il est rentré dans la voiture au moment où je démarre la voiture, il pose sa main sur la cuisse-dit et dit :

—  Je suis content que tu t'occupes de ta petite sœur, me dit-il. D'ailleurs, comment elle va ?

—  Bien enfin, elle est triste de quitter Washington, mais ça passera, dis-je.

—  Et toi ?, me dit-il.

Je vais bien, dis-je.

Jenna, avec tout ce que tu as subi là-bas, tu ne peux pas aller bien, ce n'est pas possible et je suis là pour les pulvériser le crâne a ceux qui te fond du mal, me dit-il.

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