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« – Outch ! ».
La deuxième boule de billard venait de rentrer. L'esclave serrait les dents, plissait les yeux sous la cruauté de son bourreau. A quatre pattes sur le sol dur, chevilles et poignets enchainés à un dispositif de contrainte, le martyre se laissait insérer des boules de billard fraichement trempées dans l'huile au fond des entrailles.
« –Reste sage, arrêtes de bouger ! détends-toi, elle va rentrer... voilà... c'est fait mon cochon.. ». Le géant jouait avec son cul comme avec une pâte à pain. Il le pétrissait, le retournait, le malaxer puis le déchirait. Onze jours que ça durait. Son corps ne répondait plus de rien. Son anus ne se refermait plus, sa mâchoire le lançait continuellement. Et ses ecchymoses. Son corps était recouvert de bleu et autres traces de coup. Lorsque les excès de violence lui faisait perdre le contrôle, le colosse prenait son soumis pour le sac de frappe de sa salle de sport. Il lui avait déjà brisé quatre côtes et certains de ses organes vitaux n'étaient plus en très bon état.
Les viols étaient quotidiens dans le meilleurs des cas. Sinon deux, voire trois fois par jours il se faisait salir, humilier maltraiter. Lorsqu'il avait cinq minutes le géant descendait au moins se faire pomper le dard et lorsqu'il avait plus de temps, il n'avait pas de limite dans sa cruauté.
Hier encore il avait passé trois quart d'heure allongé et ligoté sous une chaise trouée à lui manger l'oignon. Il avait été contraint de lui lécher l'anus recouvert de poils, à demi étouffé par les fesses dodues, pendant que Gunter les écrasait les parties avec ses grosses bottes. Des coups d'éperons de cavaliers dans les flancs lui avait laissé des cicatrices. Et gare à lui s'il arrêtait de lui donnait du plaisir. L'anulingus s'était stoppé l'espace de quelques secondes pour reprendre une bouffée d'air viable ce qui avait déclenché une pluie de coup sous l'insatisfaction. Sa langue le brulait mais la sanction était telle qu'il aurait préféré qu'elle explose plutôt que de le remettre en colère. L'allemand c'était grassement branlé avec des gants en cuirs qu'il avait enduits de lubrifiant et avait sonné le glas de la séance en éjaculant valeureusement sur toute la surface environnante. Pour finir il lui avait chier dessus. Il l'avait laissé là, attaché sous sa chaise, de la merde plein la gueule pendant une bonne heure. Une horreur. Entre la douleur et la puanteur, le malchanceux avait laissé son esprit quitter son corps quelques instant. Le jet d'eau glacé lui avait remis les idées en place et plus ou moins nettoyé de ses excréments.
Voilà maintenant qu'il essaye de mettre sa bite. « Aie ! ». Il serrait les dents. L'énorme gland poussait les boules de billards dans son colon, lui exfoliant les abysses. Toutes ces choses remuaient dans son ventre et lui arrachaient des pulsions de douleurs. Le titan retira sa queue et lui écarta les fesses.
« – Allez pousse ! ». Les boules de billard sortirent du cul comme des boulets de canon, rebondissant par terre. Gunter les trempa dans un saladier d'eau chaude, puis dans une bassine d'huile alimentaire, et les réenfila fissa dans le cul de son jouet. C'était la septième ou huitième fois qu'il renouvelait l'opération, agrémenté parfois d'une petite sodomie en prime.
Il y a trois jours il l'avait littéralement scotché au mur. Deux rouleaux de ruban adhésif industriel y étaient passés mais il avait réussi à le faire tenir sur la paroi sans toucher le sol. Face contre le béton, il lui avait enfoncé deux slips sales au fond de la bouche. Il avait certainement fait une bonne semaines de séances de sport et de musculation sans les laver. Ils puait la transpiration et l'urine. Bien calé entre ses molaires, le tortionnaire lui avait cloué le bec en faisant plusieurs tour de sa tête avec le reste du scotch. Il lui avait aussi collé les yeux, les cheveux, les oreilles. Il ne pouvait ni parler, ni voir, ni entendre. Il ne pouvait que saliver le gout des frocs dégueulasses et respirer par le nez, seul organe encore visible. Ses fesses roses dépassaient du bondage et offrait une vue de choix. C'est alors que Gunter, dandinant musculeusement son jockstrap jusqu'à un rac solidement vissé au mur, s'empara d'une large ceinture en cuir. Il l'a malaxa, la tordit, testa sa souplesse, tira dessus puis s'en retourna à son stand de jeu. Le cul offert allait prendre cher. Il allait même regretter de ne pas se faire enculer après ce qu'il avait l'intention de faire. Il recourba le ceinture dans une main et commença à le fouetter sauvagement. Le corps de la victime se banda immédiatement sous la violence du coup. Des larmes incontrôlables s'échappèrent du ruban adhésif gris. Un cris étouffé tentait de sortir de son larynx mais le bâillon le retenait prisonnier. Une vilaine marque venait d'apparaitre sur le fessier meurtrie. L'arrière-train commençait à violacer. Gunter réarma son bras massif et claqua de plus belle l'accessoire sur la peau du malheureux. Les coups de fouets plurent sans discontinuer. A chaque claquement l'épais paquet emballé dans un confortable cuir gonflait un peu plus. Il prenait un pied formidable à massacrer sa victime qui remuait le crane dans tous les sens sous la douleurs des coups. Son cul saignait. A la vue des écorchures, le jonc sortit de lui-même du slip du bourreau. L'excitation avait dégainé le monstre, le sadisme sortait son plus bel atout. La pression dans sa queue lui faisait mal tellement ses chairs étaient tendues. Ça tirait dur sur son prépuce. Ne pouvant plus résister à l'envie, Gunter ceintura le coup du pauvre homme et lui claqua le visage contre le mur, lui brisant le nez. Le choc avait raisonné dans toute sa boite crânienne, son nez le lançait mais ses synapses ne parvenait plus à différencier le vrai du faux dans tous ce qu'il se passait. Tout dansait autour de lui. Le sang chaud qui dégoulinait de ses narines lui réchauffait le torse en s'y frayant un chemin. Un main serrant le ceinturon autour du coup de son quatre heures, l'étouffant à coup sûr, l'autre enduisait son énorme chibre d'huile. Ca coulait en cascade de partout. Sur ses cuisses, ses bottes, le sol. Ca giclait dans tous les sens. Puis il enfonça sans ménagement son sceptre dans le tréfond déjà abimé. Il l'encula aussi fort qu'il le pouvait, déchargeant toute sa hargne dans les intestins de sa pute. Il lui claquait le visage sur le mur pour le meurtrir encore un peu plus. Ce n'était qu'un corps inerte qui encaissait les coups de boutoir. Et ce ne fut qu'après de longue minutes, à la suite d'un profond râle rauque et rugueux, que la montagne germanique déchargea derrière ses lunettes noires. Quelques impulsions musculaires firent cracher les dernières gouttes de foutre par spasme, et Gunter retira son long tuyau mou. Il pendait, inerte et luisant d'huile. Il ne l'avait décroché du mur pour le remettre dans sa prison que plusieurs heures plus tard.
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Il y a les un puis il y a les autres.
General FictionUn cambrioleur à la petite semaine se réveille dans un cachot, nu et enchainé après avoir reçu un coup derrière la tête lors de son dernier cambriolage. Une porte grince, de lourds pas font trembler tout le plancher en bois miteux sur un rythme lent...