Liaisons Dangereuses à l'Élysée

Chap 7: Les Jeux Cachés de la Haute Politique: Soirée Interdite des Gouvernants

Après ce gage des plus mouvementés, elle annonce déjà le prochain défi.

- J'annonce le prochain gage! Chéri, tu dois choisir quelqu'un pour te bander les yeux et utiliser une des mallettes à sa guise.

C'est vrai, les gardes du corps avaient des mallettes, mais qu'y a-t-il dedans? Cela ne m'inspire pas confiance, mais surtout, qui va-t-il choisir?

- Je décide de choisir Monsieur Bardella.

- Mais pourquoi moi??? Arrêtez avec vos jeux ridicules, n'en ai-je pas déjà fait assez??

Moi aussi, à vrai dire, je suis assez étonné qu'il le choisisse, mais d'un côté, je suis rassuré. L'un des gardes s'approche et donne l'une des mallettes à Monsieur Bardella, qui, intrigué, l'ouvre plutôt rapidement. Sa tête ne dit rien qui vaille, il a l'air très gêné, mais aussi dégoûté et en colère. Que peut-il bien y avoir dedans?? Je m'approche pour y voir le contenu et je vois un collier de posture, des menottes, un fouet, une bougie, une laisse, un gode et des glaçons. Ce n'est pas pour les humains tout ça, il ne va tout de même pas les utiliser sur lui, quand même? Mais son regard change tout d'un coup, il est maintenant animé, presque machiavélique à l'idée d'utiliser ces outils sur le président, pas par excitation, mais par vengeance.

- Qu'attendez-vous, commencez! dit-elle toujours aussi excitée à l'idée de voir cette scène de violence.

- Alors, Monsieur Bardella, je vois que vous avez l'air ravi de pouvoir me soumettre, vous y prenez goût à ce jeu.

- Ne commencez pas à me chercher, la sentence pourrait être encore plus douloureuse.

Je reste là à regarder la scène, bouche bée, je n'y crois pas. Tout me paraît irréel encore une fois. Comment me suis-je retrouvé dans cette situation? Je le vois, Jordan Bardella, complètement le déshabiller de force et attraper brusquement la tête du Président pour lui bander les yeux et lui mettre le collier de posture. Maintenant, impossible pour lui de parler, il ne peut que gémir. Je ressens presque la douleur et la posture qu'il a. Mais lui, Bardella n'a aucune pitié, il continue à utiliser le plus d'outils possible sur lui. Il accroche à présent la laisse et le traîne jusqu'au lit si rapidement qu'il n'a même pas eu le temps de se tenir sur ses pieds. Il le pousse sur le lit et l'allonge, puis prend les menottes et attache ses mains et ses pieds, les accrochant un à un aux barreaux du lit. Il a l'air de les serrer très fort. Maintenant, complètement soumis à lui, Bardella se place sur lui et le regarde de haut pendant un instant avec un regard menaçant qui pourrait glacer le sang. Mais le président, lui, ça ne lui fait pas cet effet. Au contraire, rien qu'à son sourire, on peut comprendre qu'il n'attendait que ça, et maintenant, je comprends mieux pourquoi il l'a choisi.

- Ce soir, je vais prendre cette occasion pour me défouler, alors criez, je n'attends que ça, monsieur le Président. Je ne compte pas mesurer mes gestes. Soyez prêt à encaisser.

Il attrape la bougie et un briquet, puis commence à l'allumer jusqu'à ce que la cire fonde. Petit à petit, il penche la bougie pour déverser la cire brûlante sur le long de son corps. Surpris, le président gémit avec force et sa respiration devient forte. La cire coule sur son ventre et descend jusqu'à durcir. À chaque fois que la cire sèche, il continue à lui en verser sur son ventre. Son corps devient rouge à son contact et se crispe, laissant son torse se cambrer. La cire est maintenant déposée sur ses tétons, et là, un son étouffé est des plus forts, et il continue de gémir, comme la cire brûle ses tétons.

- Je vais faire de cette nuit un moment inoubliable pour vous, dit-il, tandis qu'il fait glisser la bougie le long du corps du président, laissant des traces de cire brûlante sur sa peau.

Bardella s'approche, sa respiration saccadée, et commence à lécher avidement les tétons durcis. Le président gémit, ses muscles se contractent, et ses hanches se soulèvent légèrement du lit. La tension est palpable. Bardella, désormais maître de son corps, mordille les tétons du président, ses mains explorant le reste de son corps soumis. Chaque contact envoie des vagues de plaisir et de douleur à travers le corps du président, le faisant se tortiller et gémir sous les caresses brutales.