Chapitre trois

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« Un battement en amène un autre, laissez votre cœur battre. »

C'est ce que fais Oscar depuis qu'il a appris que son amour vis à vis de Lando est réciproque: Il n'a jamais été aussi heureux, son cœur bats d'une manière qu'il n'a jamais entendu.
Les baises te matin, les câlins, les baisés discret sur les paddocks, l'amour qu'il donne malgré le fait qu'il soit minime, tous ces genres de choses : il l'est aiment.

Mais malgré les deux mois qu'ils sont passés, Oscar ressent toujours le sentiment qu'il ressentait lorsqu'il avait dit à Lando de passer cher lui, Il a l'impression que quelque chose n'est pas normal. Comme si Lando ne lui disait pas tout ou qu'il forçait ses sentiments à rester ou même qu'il se forçait lui-même.

Mais Oscar ne préfère pas y penser, il ne veut pas y penser en fait. Pour une fois qu'il est heureux aprés sa séparation avec son ex, il n'a pas envie de tout gâcher avec ses insécures.

Il veut juste pouvoir aimer, laissez son cœur battre au rythme de ses sentiments et pas de ses pensées. L'amour qu'il porte pour Lando n'est comparable à rien, il n'a jamais été aussi heureux.
Malgré qu'ils doivent se cacher au risque de se faire insultés voire même pires, il est heureux. Ils sont heureux, du moins c'est ce qu'espère Oscar et même ce qu'il pense.

Le réveil de Oscar le ramène à la réalité, il en avait presque oublié qu'il avait une course que que heures plus tard. Il se tourne de manière à pouvoir voire l'amour de sa vie, ce dernier étant encore endormie.

Il se leva paresseusement et ce dirigea vers son armoire, quelques vétements en sortaient, d'autres était carrément part terre, il attrapa un jeans et son t-shirt McLaren et alla se changer. En sortant de la salle de bain, il embrassa le front de Lando puis ce dirigea dans sa cuisine pour préparer le petit-déjeuner: Deux bols de céréales étaient amplement suffisant.

Il s'attela à sa tâche, toujours dans ses pensées. Des souvenirs lui vint rapidement en tête, des souvenirs de lorsqu'il était en boite, quelque mois auparavant, il se souvient de Lando qui embrassait avec une énorme envie Carlos.

Oscar laisse tomber la boite de céréales, c'était la première fois qu'il repensait a cette fête apres des mois. Pourquoi maintenant ? Pourquoi est-ce que son cerveau lui sa rappelait sa maintenant ? Surtout lorsqu'il commençait à se poser des questions, est ce que s'était à cause de ça qu'il doutait ? Que son cerveau se rappelait de ce souvenir, qu'une part de lui aussi mais qu'il préférait rester dans le déni.

Non, il ne faut pas qu'il pense à sa maintenant, ni aujourd'hui. Il a une course dans quelques heures, alors ce n'est pas le moment de douter sur sa vie.
Il reprit sa boite de céréales on continua sa mission, il déposa les bols sur la table et retourna dans la chambre réveiller Lando.

Lorsqu'il arriva, Lando était déjà debout, un grand sourire sur le visage.

_Bonjour..dit-il dans un murmure. Oscar s'approcha à pats de chats, attrapa part les hanches l'homme devant lui.

_Hey, comment tu vas ? Demanda l'australien en embrassant Lando avec une douceur comparable à la douceur d'une plume.

_Bien, mais ça aurait été encore mieux si tu avais été avec moi dans le lit. Oscar rit un peu, ce rendant compte maintenant d'a quelle point leurs matins étaient tous les mêmes.

Il tira son bien aime jusqu'a la salle à manger, le laissant manger à son aise. Ils finirent de manger et ce dirigerent jusqu'à leurs McLaren respectives, s'embrassant une dernière fois.

_courage, on se voir ce soir. Sourit Oscar.

_heu ouais ! Bisous je t'aime ! Dit-il rapidement de s'en aller tout aussi vite, laissant Oscar seul avec son déni. Pourquoi était-il aussi pressé ?

Il soupira et monta dans sa voiture avant de lui aussi aller jusqu'au circuit, une boule au ventre. Cela n'était pas arrivé depuis bien longtemps, mais il préféra faire abstraction.

__

Toutes les obligations médiatiques l'avaient fatigué, la course n'avait même pas encore commencé qu'il se faisait déjà agresser de partout. Il soupira et se rendit dans sa room, voulant faire une petite sieste d'une heure.

Il s'arrêta devant la room de son petit-ami, voulant également le voir. Un grand sourire prit place sur son visage, tous ses doutes et ses soucis s'effacèrent. Un bruit vint soudain de la piece, faisant se rendre compte à Oscar que Lando n'était peut-étre pas seul, a porte était entrouverte alors it regarda discrètement part la porte. Il vit Carlos dans la pièce accompagné de Lando, compréhensible lorsqu'on sait que c'est son
meilléur ami.

Il tendit l'oreille, écoutant à la porte. Non pas qu'il les espionnait méchamment, mais il voulait découvrir pourquoi Lando était bizarre ce matin. Il écouta en faisant attention é ne pas être vu.

_J'en ai marre ! C'est toujours la même chose avec toi ! S'exclama Lando.

Oscar pensa directement que les deux amis s'étaient disputés et que c'était pour ça que le matin avait été perturbant mais il continua d'écouter.

_Moi? C'est moi le problème ?! Mais tu te fiches de moi ? J'attends toujours que tu romps avec lui. Cette fois si, Oscar écarquilla les yeux, s'était de lui qu'ils parlaient.

Lando voulait rompre et apparemment pour aller avec Carlos. Les larmes lui montèrent aux yeux, il s'attendait à tout, sauf a ça.

_Je sais... mais je n'y arrive pas. Je t'aime plus que tout au monde l Mais je n'ai pas envie de lui briser le cœur.. désole... Oscar laissa les larmes couler sur ses joues et leva les yeuxvers l'intérieur de la pièce, il vit les deux hommes s'embrasser avant que l'espagnol ne se dirige vers la sortie

_Ce n'est pas grave, je t'aime aussi. Dit Carlos.

Il s'en alla en courant vers sa room, faisant énormément de bruits mais ne s'en reridit compte que torsqu'it entendit son nom d'une voix qu'il ne connaissait que trop bien.

Il s'enferma dans sa room, les larmes tombantes. Il ne pouvait pas y croire, il ne voulait pas. Non, ce n'était pas Lando, il a du rêver ! Même si c'est impossible, il n'est pas fou.mais là il aimerait. Il aimerait pouvoir être un fou qui s'imagine des choses, qui a des hallucinations et que ce n'était que son esprit qui lui jouait un tour. Mais non, il sait ce qu'il a vue. Ils se sont embrassés, il lui a dit je t'aime et il a répondu que lui aussi.

Il fond en larmes, il aurait dû écouter ses pensées cette fois. Il se doutait de quelque chose, que Lando était bizarre, mais il n'aurait pas pensé à ça. Certainement pas.

Il regarda l'heure et se rendit compte que la course allait commencer, il prit son courage à deux mains et courra jusqu'à sa voiture. Il monta rapidement dedans, ne voulant parler à personne d'autre que ses ingénieurs ou mécanos.

Il déposa ses mains tremblantes sur le volant et souffla, il ne voulait plus faire cette course. Mais trop tard les lumières s'allumaient. Il leva les yeux et un souvenir de lui plus töt lui revint.

"Leva les yeux vers l'intérieur de la pièce, il vit les deux hommes s'embrasser avant que l'espagnol ne se dirige vers la sortie." Les larmes revinrent aux yeux de l'australien mais il ne s'en soucia pas, trop concentré sur les lumières au-dessus de lui. Les lumières rouges s'éteignirent et il fonça, laissant tous ses problèmes à la sixième place.

Il dépassa Charles, fiévreux d'arriver premier cette fois ci. Il devait assumer son rôle, il devait réussir pour McLaren, eux qui avaient été si gentil avec lui lorsqu'il était arrivé.

Car de ce qu'il avait pu comprendre avec Daniel, ça n'avait jamais été la joie. Il arrêta de penser à tout ça et accéléra, dépassant Lando et Max.

_Putain je n'avais pas vu ! S'exclama t'il en un étonnement.

Après avoir dépassé Charles pour arriver cinquième, il avait aussi passé George et Lewis pour être troisième. Et maintenant qu'it avait dépassé Lando et Max, il était premier.

Un enorme sourire prit place sur ses levres, il avait oublie ce qui s'etait passer quelques minutes plus tôt.

À SUIVRE.

Below the helmet-Landoscar-Où les histoires vivent. Découvrez maintenant