As salam wa aleykoum,
Les jours suivants étaient flous. Chaque minute était un combat contre la douleur et la culpabilité. La maison était plongée dans un silence mortuaire, brisé seulement par les sanglots occasionnels de ma mère. Nous vivions comme des ombres, hantés par le souvenir de Lina et Sirine. Chaque coin de la maison, chaque objet, chaque photo rappelait leur absence.
J'étais devenu la pire version de moi même, sois on me retrouver en bas de mon bâtiment deffoncer et bourré comme pas possible, sois on me retrouver sur un banc allonger car j'étais incapable de rester chez moi et faire face à la tristesse de ma famille chaque jour. Ma mère, elle, passait des heures à prier, cherchant du réconfort dans sa foi, une foi que je ne pouvais plus partager. J'avais perdu ma foi en même temps que ma sœur. Chaque prière semblait vide, chaque mot inutile. Dieu m'avait abandonné, et je n'avais plus rien à lui dire. J'ai finis par arrêter de prier, inconsciemment.
Imran, mon meilleur ami, était un des rares à essayer de me sortir de cet état. Mais lui aussi était brisé. Il passer ses journées au cimetière à parler avec sa sœur, au contraire de moi qui étais incapable de mettre un seul pied la bas. Imran avait perdu sa petite sœur, et pourtant, il tentait de trouver la force de m'aider. Nous nous retrouvions parfois, assis en silence, incapables de trouver les mots pour exprimer notre douleur. Le Belvédère, autrefois un lieu de souvenirs heureux, était maintenant un lieu de deuil.
Une nuit, alors que je n'arrivais pas à dormir, je suis sorti. J'ai marché sans but, mes pas me guidant automatiquement vers le Belvédère. Les souvenirs de cette nuit tragique me submergeaient. Les images de Lina et Sirine étendues sur le sol me hantaient. J'ai allumé un nouveau join, espérant que la fumée chasserait mes pensées, mais en vain. Les larmes ont recommencé à couler.
Je suis resté là jusqu'à l'aube, regardant le soleil se lever, mais incapable de sentir la chaleur de ses rayons. La vie continuait autour de moi, mais moi, j'étais figé dans cette nuit fatidique. Je savais que je devais trouver un moyen de continuer, pour ma mère, pour Mehdi, pour Imran. Mais à ce moment-là, cela semblait impossible.
J'étais devenu fou, je parler tout seul je voyait que le mal partout je ne parler avec plus personne j'étais remplis de haine, j'avais tellement eu mal au coeur que je me sentais même plus en avoir un.
Les semaines ont passé, et la douleur, bien que toujours présente, a commencé à s'estomper légèrement. Je savais que je ne pourrais jamais oublier Lina, que son absence serait toujours une cicatrice dans mon cœur. Mais j'ai aussi réalisé que me détruire ne ramènerait pas ma sœur. Je devais trouver un moyen de vivre avec cette douleur, de transformer ma colère en quelque chose de constructif. Mais j'ai trouver le pire moyen, la forniquation.
Oui j'ai fréquenté une femme, puis d'autres, et dans tout ça moi j'étais quoi ? Rien, j'étais qu'un simple chien, qui ne respecter même pas la femme.
Alors que pendant tout ce temps j'étais avec une fille, cette fille ça faisait quelques mois que j'étais avec elle, a ce moment la elle ne compter même plus un minimum pour moi. Je l'ai trompée humilier, je m'enfumer chaque soir, je me battais à chaque fois que je sortais j'enchaînais gav sur gav comme un clodo à seulement 15ans.
C'est pour ses raison qu'avec cette ça s'est finis.
Et après elle pendant plusieurs jours je chercher quelqu'un pour pouvoir combler cette solitude.
Alors j'ai fréquenté une femme, puis d'autres, et dans tout ça moi j'étais quoi ? Rien, j'étais qu'un simple chien, qui ne respecter même pas la femme.
Pendant plusieurs mois j'ai vécu une relation avec une fille se nommant aya.
Je sais pas si cette relation vaut la peine d'être expliqué dans cette chronique, même si certes elle fait partie de ma vie, notre relation à été un grand chapitre de ma vie mais si je devais expliquer tout j'en aurais pour 10 chapitre 😂
En vrai je vous laisse le choix, pour les prochains chapitres je passe directe à juin 2023 quand ça s'est terminer et que a commencer d'autre étape de ma vie ? Ou je prend un chapitre pour raconter l'histoire de ziyan et aya ?
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𝓡é𝓭𝓮𝓶𝓹𝓽𝓲𝓸𝓷𝓼 𝓭'𝓾𝓷 𝓬œ𝓾𝓻 𝓫𝓻𝓲𝓼é - 𝕮𝖍𝖗𝖔𝖓𝖎𝖖𝖚𝖊 𝖉𝖊 𝓩𝓲𝔂𝓪𝓷
RandomC'est mon histoire, Ziyan un jeune garçon brisé par la vie, par ses erreurs et ses pertes, cherchant rédemption et paix intérieure. J'avais besoin de poser des mots sur ce que j'ai vécu, ce que je ressens. Y'a pas que les meuf qui écrivent des chron...