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Le lendemain matin, une atmosphère mélancolique régnait dans la maison familiale. Le soleil perçait à travers les rideaux, illuminant les visages de Katherine et des frères et sœurs de Michael, qui, malgré les sourires, ne pouvaient cacher leur tristesse.

Dans le salon, les valises étaient prêtes, alignées près de la porte. Michael, debout aux côtés d'Arya, sentit un pincement au cœur en voyant les expressions de sa famille. C'était toujours difficile de partir, surtout après avoir partagé des moments si intenses et intimes.

Katherine, les yeux légèrement humides, s'approcha de Michael et le prit dans ses bras.

"Tu vas nous manquer, mon chéri," murmura-t-elle en le serrant fort. "Mais je sais que tu dois continuer à avancer. Tu fais des choses merveilleuses, et je suis tellement fière de toi."

Michael lui rendit son étreinte, fermant les yeux un instant pour savourer ce moment de réconfort maternel.

" Vous allez me manquer aussi, maman," répondit-il doucement. "Mais je reviendrai dès que je le pourrai, promis."

Ses frères et sœurs s'approchèrent tour à tour, chacun partageant des mots d'encouragement et d'affection. Tito lui tapota l'épaule avec un sourire triste.

"Ne travaille pas trop, Mike. Prends soin de toi." lui fit promettre Janet.

Arya, debout à côté, observa avec émotion cette scène touchante. Elle savait à quel point cette famille était importante pour Michael, et elle ressentait la tristesse partagée de devoir partir.

Finalement, après avoir échangé des étreintes et des adieux, Michael et Arya se dirigèrent vers la porte. Katherine, essayant de maintenir un sourire, fit un dernier geste de la main.

"Prenez soin de vous deux," dit-elle.

Michael et Arya montèrent dans la voiture qui les attendait, le moteur ronronnant doucement. Alors qu'ils s'éloignaient de la maison, Michael jeta un dernier regard en arrière, voyant sa famille se tenir à l'entrée, leurs silhouettes se rétrécissant au fur et à mesure que la voiture prenait de la distance.

Il se tourna vers Arya, prenant sa main dans la sienne.

"Ça me fait toujours un peu mal de partir," avoua-t-il, sa voix emplie d'une douce mélancolie. "Mais je sais qu'il y a encore tant à faire..."

***

De retour chez Michael, l'atmosphère était douce et paisible, contrastant avec la frénésie des jours précédents. La maison, baignée par la lumière douce de l'après-midi, était un refuge pour eux deux, un endroit où ils pouvaient s'abandonner à leurs émotions sans réserve.

Allongés sur le canapé du salon, ils passèrent la journée à se câliner, profitant de chaque instant passé ensemble. Michael, allongé sur le dos, caressait doucement les cheveux d'Arya, qui reposait sa tête sur son torse, écoutant le rythme régulier de son cœur. Leurs murmures étaient remplis de tendresse, chaque mot, chaque geste, exprimant l'affection profonde qu'ils partageaient.

De temps à autre, Michael laissait glisser sa main le long du dos d’Arya, sa peau douce sous ses doigts, et elle répondait par des baisers légers sur son cou ou en murmurant des mots doux à son oreille. Leurs moments de tendresse s'interrompaient parfois par des élans de passion, où ils s’embrassaient avec plus de ferveur et bien plus encore, oubliant un instant la tristesse qui pesait sur leurs cœurs.

Alors que la journée avançait, la lumière du jour commença à faiblir, et la réalité du départ imminent d’Arya devint de plus en plus difficile à ignorer. Ils savaient tous les deux que ce moment arriverait, mais cela n'atténuait en rien la tristesse qui s'installait.

Mystery ClientOù les histoires vivent. Découvrez maintenant