Dans une impasse où la lumière vacille,
Enfoncé dans les ombres de l'amour passé,
Je cherchais en vain une âme à embraser.
Lentement, dans le calme de la tempête,
Un regard m'accrochait,
Comme un miroir révélant mon reflet.
Soudain, je perdais la tête,
Comme si je découvrais pour la première fois
Le souffle même de la vie.
Tout son corps dictait mon allure,
Ses yeux noirs, sa beauté inégalée,
Son sourire, indélébile, hantait mes pensées.
Envoûté par cette beauté pure,
Dont l'attirance apaisait mon cœur,
Avec charme, grâce et ardente chaleur.
Je m'approchais d'elle, chaque pas mesuré,
Comme si chaque mouvement était une première.
Je la saluais avec une passion animée,
Elle répondait comme si elle m'attendait.
Des frissons parcouraient chaque fibre de moi,
Une sensation nouvelle m'envahissait,
Comme si le destin me guidait,
Vers une chaleur suave.
Une sensation parallèle, troublante,
Je scrutais ses lèvres, assoiffé de leur mystère.
Sa voix adoucissait ma fureur,
Mon âme flottait dans une extase conciliante,
Loin des discordes de cette terre.
C’était une sensation d’une intensité supérieure.
Djonles l'évocateur des mots
