Un Corps dans Un Cœur

L'Aura Éternel

Quand elle entre, tout autour se dissipe,
L’air s’alourdit, le monde retient son souffle.
Elle marche, majestueuse, telle une reine,
Son aura, éclat pur, une lumière souveraine.

Son regard perce les cœurs avec une douceur infinie,
Chacun se perd dans cette lueur qui guide et brûle.
Sa voix est une mélodie envoûtante,
Un chant d’une autre époque, de lointaines légendes.

Elle n’est pas de ce monde, elle est l’élan,
Un souffle d’éternité qui surpasse le temps.
Sa beauté est l’essence même de l’harmonie,
Un chef-d'œuvre façonné par les étoiles et le vent.

Chaque geste qu’elle pose devient une règle,
Un acte de grâce, une danse sacrée.
Elle transforme l’ordinaire en sublime,
Et ses mots, des vers qui éveillent l’âme endormie.

Elle marche sans bruit, une ombre de lumière,
Ses pas, délicats, laissent une empreinte dans l’éternité.
Elle est une énigme à résoudre, un mystère,
Chaque mouvement d’elle est une vérité dissimulée.

Elle est la sagesse incarnée, l’esprit cultivé,
Elle connaît les secrets de l’univers,
Elle parle comme une reine, mais écoute comme un sage,
Elle défie la nuit avec sa lumière sans fin.

Les hommes s’inclinent, mais aucun n’ose la toucher,
Elle est un rêve qu’ils caressent de loin.
Son amour est un parfum rare, un élixir précieux,
Mais ceux qui la cherchent, toujours la perdront dans l’invisible.

Elle est le soleil et l’ombre en même temps,
Un éclat qui réchauffe et une brume qui cache.
Dans son regard, on trouve l’infini,
Mais jamais la certitude de son cœur.

Elle est la muse des poètes, l’idéal des héros,
Un souffle qui brise, mais qui guérit aussi.
Les étoiles s’inclinent quand elle passe,
La lune elle-même semble l’envier.

Je suis le témoin de son éclat, perdu dans sa lumière,
Mon esprit se fond dans l’ombre de son être.
Elle est l’essence même de la beauté et de la force,
Un mythe vivant, une légende qui marche parmi nous.

Dans ses pas, les montagnes se relèvent,
Les rivières prennent vie, les vents chantent.
Elle traverse le monde, mais jamais ne se pose,
Et moi, je la porte en moi, éternellement, sans fin.

Elle est l’énigme que nul ne résoudra,
Le rêve de tout homme, l’ombre de ses désirs.
Et même si je la perds dans le souffle du vent,
Je la cherche encore, à chaque instant.

Djonles