Comme on dit... Tel est pris qui croyait prendre
Je m'aperçois qu'il me reste à apprendre
Je pensais enfin en avoir fini
Je pensais pouvoir contrôler ma vie
Mais il semble que je me sois trompée
Parce que je suis encore blessée
Alors je vais laisser derrière moi
Ces douloureux regrets de toi et moi
Je termine pour de bon ce recueil
Je laisse tomber le maudit orgueil
En même temps que mon fissuré coeur
Je ne veux pas poursuivre mon malheur
VOUS LISEZ
Coeur commun [Poèmes]
PoesíaOdi et amo La phrase parfaite pour expliquer mes maux Je hais et j'aime Celui à qui j'adresse ce poème Celui qui fait rugir mon cœur Et trempe mes joues de pleurs Celui qui dit m'aimer Et décide, du jour au lendemain, de m'ignorer Celui qui a tant f...