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Mon nom est Florine, j'ai 17 ans.

Depuis que je suis petite, j'ai toujours aimé jouer au papa et à la maman, à l'élève et au maitre, enfin bref, à tous les jeux auxquels les autres me donnaient des tâches que je devais faire.

Très vite, à l'adolescence, ces jeux sont devenus ennuyeux, il me fallait quelque chose ou je me sentais plus à ma place. Je voulais découvrir une activité qui me correspondait plus.

Mais à 14 ans, c'est très difficile de trouver des partenaires de jeux qui partagent mes idées. Beaucoup ne comprennent pas de quoi je veux parler et les autres sont sans expérience aucune en la matière.

L'année de mon Dix-septième anniversaire, je fis la rencontre d'un garçon qui semblait être ce qui me convient mais malheureusement ce n'était pas du tout ce qu'il était en réalité.

A part le machisme inconditionnel, c'est tout ce qu'il savait faire correctement. Même au lit il était mauvais ! Il se contentait de me demander de le sucer, puis m'allonger et me prendre rapidement avant de se terminer 25 secondes plus tard sur mon ventre. Autant vous dire que niveau plaisir, le drapeau était en berne.

En plus de ça, il était jaloux alors je n'avais pas le droit de parler a d'autres garçon. Bien évidemment dès qu'il avait le dos tourné je m'empressais de faire exactement le contraire de ce qu'il disait.

J'ai toujours aimé jouer avec le feu, prendre des risques. Je trouvais dans cette exercice une certaine excitation en pensant aux conséquences si je me faisais prendre et en mettant tout en œuvre pour que ça n'arrive pas.

C'est d'ailleurs lors de ces discussions périlleuses que j'ai rencontré un homme, beaucoup plus âgé que moi.

Physiquement ce n'était pas la personne la plus extraordinaire du monde. Mais sa façon de parler, sa façon de me regarder, me faisait me tordre d'attirance, chaque parole qu'il prononçait m'atteignait directement et contrainte sans chaine je faisais tout ce qu'il demandait, comme hypnotisé par sa prestance.

A chaque fois que je pensais à lui je me surprenais à penser « La petite chienne à trouver son maitre ». Et c'est peu dire, je suis convaincue que s'il me mettait un collier et une laisse, il me promènerait dans la rue sans que je proteste la moindre seconde.

D'ailleurs cette semaine, il m'a invité chez lui. Bien qu'il travaille je restais. La journée je vaquait à mes occupations mais lorsqu'approchait l'heure de son retour, je l'attendais avec l'excitation d'un enfant devant un paquet de bonbons. A la différence que le bonbon, c'est moi.

Monsieur était un homme très gentil, à l'écoute, protecteur et il était également très stricte, d'où mon obligation de l'appeler « Monsieur », et il pouvait se montrer très sévère si je désobéissais à ses ordres, ce qui avait le donc d'activer certaines parties de mon corps en provocant des sensations dont je me délecte.

Comme toujours, j'occupais sagement mon après-midi lorsque Monsieur m'envoya un message :

« Ce soir attends-moi sagement et sans culotte derrière la porte. Je veux que tu accueilles ton maitre comme il se doit. »

Le JouetOù les histoires vivent. Découvrez maintenant