Les Regrets

chap 5

( Je crois que ce chapitre a été très attendu )

PDV Hoshi :

Aujourd'hui c'est mon premier jour à l'école d'exorcisme, depuis bien longtemps. J'avais déposer un peut plus tôt se matin, Haru à la crèche. J'étais très nerveuse. Mr Yaga l'avait dit de me rendre en salle 3 pour y rencontrer mes nouveaux élèves. Alors que je cherchais ma salle de cours, je tomba sur une grande femme brune. Elle s'alluma une cigarette et me demanda étonner.

- C'est toi Hoshi ?

Dans sa voix, il n'y avait aucune haine. Je lui demanda donc étonner.

- Tu n'es pas en colère ?

- Non, pourquoi ? Je devrais ?

- Je suis partir du jour 1u lendemain sans laisser aucune trace. Alors pourquoi ?

- Je sais que sa ne servirais à rien, c'est tout. Par contre, Satoru, lui, ne va pas être  très content. Comprends le.

Je changea rapidement de sujet, ambarasser.

- Ou est Suguru ? J'aimerais lui dire bonjour.

Shoko tira un bouffer de sa cigarette avant de me répondre calmement.

- Sa fait aujourd'hui 2 ans qu'il est mort. Il était devenu fou.

Je me figeas. On parlait bien de Suguru Geto, le mec le plus adorable de la planète terre. Comment c'est possible ? Shoko enchaîna.

- Bref, tu en as louper des choses en 5 ans d'absence.

- Oui...

Vous deux aussi.

Tu as intérêt à tour me dire ma petite Hoshi.

- Ok, mais ne le dit à personne d'autre.

Shoko ecrasa sa cigarette.

- Tu as ma parole.

- Bon, il y a 5 ans, Satoru et moi avons passer une nuit ensemble et on a pas fait attention. Je me suis rendu compte peut de temps après que j'étais tomber enceinte et deux mois après je suis partis. J'ai accoucher plis tard d'un magnifique petit garçon.

- Pourquoi ?

- Je voulais que Satoru puisse entièrement se consacré sur son incroyable metrise de sa force occulte.

- Il y a quelque chose que tu me cache Hoshi.

- Oui, tu as raison... J'avais peur qu'il me
... Rejette.

Shoko me sourit et posa sa main sur mon épaule.

- Satoru t'aimait beaucoup trop pour cela.

Je me rendis enfin compte de mon erreur. Et si je n'étais pas partis, Satoru et moi aurions pu vibre une vie heureuse ? Je me sentais vraiment bête. Je salua et remercia Shoko, avant d'aller rejoindre la salle où mes nouveaux élèves m'attendais sûrement déjà.