-On va marcher, dis-je en faisant demi tour.Il avait remarquer qu'Hestia était inconsciente, je connais le vice des hommes comme eux.
Étant donné qu'il cherchait à se rapprocher de nous, j'arrivais à distinguer son visage. Il devait avoir la quarantaine et ses cheveux qui blanchissaient tout en tombant sur son visage. Ses pommettes étaient creusées ce qui donnait cette impression qu'il pourrait nous engloutir pour combler son appétit. Sa barbe non plus n'étais pas jeune, il était mal rasée.
-J'la toucherais pas la p'tite, j'vous emmène juste à l'hôpital
Dit il d'une voix rauque- On marche je vous ai dis.
Répondais-je sous le coup de la colère-Elle tiendra pas longtemps avec tout ça, toi non plus, laisse moi juste désinfecté vos plaît, je ferais rien d'autre
La porte s'ouvrît devant nos corps meurtri.
Je pris le corps d'Hestia et le posa délicatement sur la banquette arrière. Son sang créait de grosse tache sur les sièges qui étaient avant nos passages, propre. J'avais la tête au dessus de la sienne essayant de placer les faibles bandes que le conducteur m'avait emmener. Elles se remplissaient rapidement ce qui ne présageait rien de bon. Son regard se fermait peu à peu, tombant de fatigue. Ses cheveux mouiller diluaient le sang qui se propageait.- je vais l'emmener avec moi à l'hôpital, tu resteras là. Ou sont vos parents pour que vous soyez abîmer comme ça ?
-On est majeur, on habite seul. Et pas d'hôpital, elle a la phobie.
Je savais qu'Hestia suivrait mon mensonge, elle était effrayée par l'homme et sous mon emprise étant persuadée que j'étais envoyer par son Dieu pour la sauver. Elle était si naïve que ça en était impressionnant. Elle avait cette mentalités si enfantine qui nous montraient bien à quel point son mentale avait dû être torturé.
Je me plaça au devant de la voiture et le chauffeur démarra rapidement la voiture.
Nous avons rouler une bonne quinzaine de voiture avant qu'il ne s'arrête à une station et descendit de la voiture.
Il se plaça au nivaux du cache à essence et se mis à remplir le réservoir en fixant le corp de la jeune fille a l'arrière.
Je sortis pour me placer au coter d'Hestia. Ma prise sur son corps se raffermie tandis-ce qu'il regardait sa jupe volée au rythme du vent qui traversait la fenêtre en laissant apparaître ses genoux rougis.
Mon regard a moi était posé sur son visage. Plus le temp passait, plus son visage se fermait, signe qu'elle souffrait. Ses yeux bleu perçant était trempée par ses larmes qui ne cessaient point de rouler. Ses joues devenait rouge tandis que sa bouche se courbait en étant rythmé de petits cris sourds.
-vos petits noms ? Moi c'est Lawrence
Dit l'homme- James et June. Répliquais-je d'un ton sec
Je savais que je ne devais en aucun cas donnée nos vrai nom.
Ma mains vient replacer la dentelle de sa jupe pour que le regard de l'homme âgée puisse enfin s'enlever de son corp si frêle.
A mon toucher, elle se raidit en attrapant de sa mains disponible, la mienne.- James tiens, mon grand, j'ai besoin de toi pour l'essence, vient m'aider à débloquer le cache pour le refermer.
Les yeux de la femme à coter de moi se glissèrent immédiatement dans les miens.
-Ne me laisse pas seule
Me suppliât-elle en chuchotant- Tout vas bien se passer, le monsieur m'a préciser sur ta porte était coincé, il ne peut pas l'ouvrir.
Déclarais-je sur de moiJe sors de la voiture d'un pas déterminer fermant la porte derrière moi pour venir en aide à notre chauffeur. Il essayait de toute ses forces de décoincer ce fichu cache qui ne souhaitais pas se refermer.
- James, vas voir dans la boutique en face, cherche de l'huile peut importe laquelle, moi, je continue à forcer ce putain de cache
J'acquiesça et me rendit à l'intérieur du bâtiment. Cherchant cette fameuse huile. Je ne laissais pas Hestia seule, le bâtiment était entourée de vitre j'avais donc la possibilité de voir si quelque chose se passait mal.
PDV
HestiaLa silhouette du vielle homme apparaissait et disparaissait de la fenêtre me donnant l'impression qu'il hésitait.
Akiran ne serait plus là pour m'aider peut importe les intentions de cet homme, il fallait sortir les grands moyens pour me protéger, question à laquelle j'avais déjà réponse bien avant ma fuite. Tout était prévu pour me garantir une survit total, même si je venais à me retrouver seule. Je n'étais pas aussi docile que le monde le pensait. Je paraissais enfantine de part mes habits et mes paroles, mais je ne l'étais pas vraiment.Lawrence mis sa mains sur la poignée et l'enclencha. La porte rouiller de la voiture s'ouvrît en dégagent un bruit sourd. La porte n'avait donc jamais été coincé.
Ses mains poilu vinrent se fondre dans la dentelle de ma jupe dévoilant peu à peu ma chair terrifiée à l'idée que cet homme n'aille trop loin.
Je sentais son touché s'accordé au rythme de mon coeur qui ne voulait s'arrêter. Je n'osais pas ouvrir les yeux de peur que son regard ne caresse mon visage comme il le faisait avec mes cuisses.
-Ne fait pas ça je t'en supplie
Criais-jeIl parcourait les cicatrices qui composait mes jambes dans une fausse délicatesse. Il essuyait le sang de ses doigts si maladroit et remonta bientôt jusque mes sous-vêtements
-Ne bouge pas fillette, tout ce passera bien si tu te laisse faire.
Mon corps raide sur cette banquette arrière était malheureusement habitué à ce genre d'action. J'avais appris à mordre l'intérieur de ma joue et attendre que le temp passe et qu'ils finissent leurs affaires.
Je voyais ma poitrine se relever après chaque bouffer d'air que j'arrivais à aspiré. J'étais sali, usée et persuadée que finalement l'enfer n'était pas l'orphelinat, c'était peut être juste moi.
Il rentra finalement dans la voiture en se plaçant au dessus de moi, je sentais son souffle chaud se déposer sur mon visage en le salissant. En une fraction de second j'ai aperçu son visage embrassant fougueusement mes lèvres sans que je ne puisse lui donner mon accord.
Je luttais contre lui me persuadant que j'arriverais à décoller nos corps sans avoir à être extrême. Mais non.
Avant qu'il n'enlève mon haut, je glissas ma mains à l'intérieur de ce qui me servait de lingerie et attrapa l'objet qui s'y trouvait à l'intérieur
-Je t'es dis d'arrêter
Rugissais-je comme si j'étais une sorte de lionne affamer de vengeance tout en pointant mon arme devant son visageJe pris mes jambes tremblante dans mon bras disponible, pleurant d'avoir dû le menacer pour qu'il arrête de me salir.
Mes mains tremblaient et à vrai dire, je ne savais pourquoi il me craignait. J'étais si apeurée que quiconque savait que je ne bougerais pas. Mon couteau ne serait même pas efficace sur un insecte ...Choquée, il se retira de mon corp laissant place à la silhouette d'Akrian derrière lui. Etait-il là depuis longtemps ?
-Bouge de là,
elle t'a demander de bouger.
Grogna Akiran tout en étant apeurer par ma propre personne.L'homme parti, puis reprit le volant du véhicule sans qu'aucun de nous ne parle.
VOUS LISEZ
BURN MY SKIN
RomanceDepuis mon plus jeune âge, j'ai été fasciné par sa chaleur et sa capacité à tout consumer sur son passage. C'était comme si nous étions liés par l'univers, comme une connexion. J'aimais le comportement que les flammes avaient, elles n'avaient aucun...