y a la nuit qui s'étire
les grognements d'un chien
les enfants qui braillent
et moi qui ne suis rieny a les problèmes de grands
des problèmes insolubles
inventé par la tête
d'où n'emmane plus rienou vais-je , qui suis-je
parasitent ma tête
les cris des enfants
qui disputent un rienque passe le temps
que je regretterai
où l'eau coule encore
qui ne demande riendiscrétion assurée
mon enfant s'est caché
je vois les pieds qui dépassent
De mon absurditéun beau jour je verrai
que derrière un écran
mon fils s'est caché
Et moi immobile pensiveEt pourtant je dirai
Ce que que je pense encore
Qu'il est beau et brillant
D'avoir des enfants.
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Poèmes De L'espace
PoesiaRecueil de poèmes en français Translations are coming, or not. Poèmes qui parlent, poèmes qui sonnent.