J'ai envie d'écrire,
Parce que je l'ai vu faire,
Malgré que je n'ai rien à dire,
Un peu comme dans tous mes poèmes.
Je trouve cela un peu idiot,
Déchirer une feuille sans raison.
Pour ne rien dire d'important,
Pour ne rien dire d'intéressant.
Mais j'aime bien me forcer.
Repousser les limites de mes pensées.
Mais à chaque fois que je le fais,
Je me rend compte qu'il n'y a pas d'après.
Derrière mes limites se trouve le néant,
Derrière mes limites se trouve mon vide d'avant,
Vide que je retrouve partout,
Vide que je pensais avoir enterré dans le plus profond de mes trous.
Je le sais je me voile la face,
Mais ce n'est pas grave.
J'aurais beau dire avoir accepté la vérité,
Quelque part c'est faux et je ne fais que le répéter.
À chaque fois je me demande pourquoi je continue,
Cette question revient sur toute mes notes.
À chaque fois je me demande pourquoi j'y ai cru,
Et cette question revient encore.
J'écris parce que j'aime,
J'ecris parce que j'ai aimé.
J'ecris parce que je n'aime plus,
J'écris parce que j'ai détesté.
Et j'aurais beau répéter,
Que se soit mes actes, que se soit mes paroles,
Que se soit mes dire, quelque soit la raison,
De cet amour je ne peux m'en séparer.
Et encore j'appelle cet amour de la haine,
Je confond cette haine avec l'amour,
Je ne saurais dire ce qui est vrai,
Vi qu'à chaque fois mon cœur se retourne.
Et pourtant,
J'aime dire je t'aime.
Je déteste dire je t'aime.
Mais je n'ai jamais détesté l'amour,
Mais je ne l'aime plus du tout.
Je'trouvr cela si bête,
En plus ce poème ne saurait plaire.
Mais mon seul problème c'est d'accepter,
Accepter pour abandonner.
J'espère que c'est l'amour qui me fait dire cela,
Parce que ta pensée ne me contrarie pas.
Mais parfois je n'ai plus l'impression de t'aimer,
Er parfois tu me donnes l'impression que notre vécu n'a jamais été.
