Chapitre 6

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Je ne voulais pas sortir de mon lit. Je me suis ressasser tout ce qu'il s'était passer hier. Madame m'avait accordé ma journée et pourtant je me sens toujours épuisée. Pourquoi, m'avoir emmener dans cette endroit ? J'ai l'impression de ne jamais avoir été mettre de ma vie. Et maintenant on m'enlève celui de mon corps ?

Je me rend compte de la "chance" que j'ai...
Ne plus être à la rue.
Manger à ma faim.
Avoir des habits et dormir sur un lit propre..... mais pourquoi il faut que ce soit un goût de sacrifice qui agresse ma bouche .....
Un goût amère que je n'arrive pas à enlever...

[...]

- Oui Madame. Dis-je vous- m'avez appelé ?

- Oui assied toi!! S'exclame-t-elle.

C'est ce que je fis en m'accroupissant au sol ne voulant pas salir son canapé.

- Ma petite non!!! Auprès de moi. Reprit elle en tapotant la place à côté.

Je lève la tête étonné mais me fait pas prier pour ne pas la vexé ou l'énerver.

- Alors..... comment te sens-tu depuis la dernière fois ?

Ah oui, je ne vous ai pas encore dit mais une semaine est passée, depuis ce fameux jour.

- Je vais bien. Dis-je doucement.

- Mmmh je sais que tu mens... mais je te laisse le temps qu'il te faut pour me dire ton vrai ressentie. Me dit-elle simplement. Bon !!! J'ai les résultats ta de ton examen gynécologique et ils sont bon.

- Merci Madame.

- Et je voulais rajouter que je te félicite pour ta patience durant ce moment..... ma petite, il faut que tu sache que tu es précieuse pour lui.... et durant son absence on doit s'assurer que tu ailles bien....

Lui ?? Je suis sur que c'est d'Éros qu'elle parle... malgré les kilomètres et le temps qui a suivi son départ, j'ai cette sensation qu'il est là.... Même-ci physiquement non, j'ai toujours eu cette impression qu'il ère ici la nuit comme un fantôme qui hante une maison abandonné.

- Merci à vous Madame.

Je triture le pan de ma robe de travaille nerveusement. J'ai envie de lui posée une question mais elle me sera préjudiciable. J'en suis sûr.

- Je commence à te connaître assez pour savoir lorsque tu as quelque chose à me dire. Rit-elle. Je t'écoute.

- E-Et la femme de la dernière fois.... que lui e-..

- Oh elle est morte ma petite. Dit-elle comme-ci c'était tout à fait normale.

Je me fige de stupeur. Des larmes commence à me brouiller la vue et coule silencieusement.
C'est ma faute.

- J'aurais pas dû crier Madame. Je vous demande Pardon!! C'est ma faute si elle est morte !! Punissez moi Madame!!  Dis-je en m'en voulant.

- Ma petite.... rien que parce que tu fais ta pleurnicheuse, je devrais te punir.

Je me raidis mais lui donne raison.

- Un jour tu devras faire face à de nouvelle responsabilité. Alors lève la tête et ne la baisse jamais face à personne ! Dit-elle durement.

Elle ne dit plus rien pendant quelque temps. Moi ? J'avais cessé de pleurer. J'avais même gracieusement effacer mes larmes.

- Tu sais quoi ? Reprit-elle. Je vais faire ton éducation moi-même. Tu peux partir.

Je ne me fais pas prier....

[...]

Durant 6 mois j'ai du prendre en compte les différentes postures, sujets, règles et plus encore sous la coupe de Madame Azgreb. En annexe, je me dois de continuer à travailler pour eux.

Sa femme Où les histoires vivent. Découvrez maintenant