Chapitre 8

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TW : v*ol, V*olence et Agression.

On arriva dans un entrepôt. Il y avait un groupe d'hommes réunie à l'intérieur, qui nous attendaient. Une fois que le voiture arrêté, ils l'encerclèrent en faisant des bruits étranges et agressifs.  Les portes arrières s'ouvrent brusquement  et les hommes de mon côté me prennent avec force mon bras. J'ai essayé de me débattre mais sa n'a servi à rien. J'ai senti une vif douleur dans le cou et je perd connaissance d'un seule coup.

Les seules sons que j'ai pu entendre avant de m'évanouir sont les cris de rage d'Alya.

Et puis plus rien.....

[...]

Je me réveille brutalement par quelque chose de glacer et mouillé projeter sur moi.

Je reprend rapidement conscience, pour constater qu'il s'agissait d'eau froide avec de la glace.

C'est quelques secondes après avoir repris mes espris que je réalise, être attaché sur une chaise en bois. Les pieds comme les poings sont liées par des cordes.
Mon jeans et mes chaussures ont été enlevé et il ne me reste que mon haut.... qui est à la base blanc. Maintenant qu'il est devenu transparent, il dévoile de la couleur a la forme de mon soutient gorge.

La peur me monte ainsi que la gêne. Je tremble de froid à cause de la tenue peu couverte.
Mes yeux s'agite par tout jusqu'à ce qu'ils tombent sur la personne à côté de moi.

Madame était elle aussi attaché à une chaise. Sauf qu'à l'occurrence, elle n'était pas consciente.
Je peux voir des écchymoses qui commence à apparaître sur sa pommette et sur son menton. Des bleus sur ses bras et du sang coulait de sa bouche.

Un cri aiguë travers ma bouche et je m'agite instinctivement comme pour l'atteindre pour savoir comment elle allait. 

Un rire satisfait attire mon attention. Et je tourne ma tête pour faire face à la personne debout devant  moi.

Le "chauffeur" ce tien avec le même sourire que d'habitude placardé sur son visage.

- Vous les grosses vous avez une grande tendance à trop dormir. Dit-il

C'est gêner que je me repli sur moi-même.

- Une personne m'a dit que je pouvais faire ce que je voulais de toi..

Il s'était approcher de moi pour me dire sa. Assez proche pour que je sente son souffle sur mon visage.

- J'ai pu m'amuser avec ta patronne et ton tour est arrivé.

Il ne me laisse pas de temps pour assimiler ce qu'il venait de me dire que je me pris une énorme gifle.

- Avant "qu'ils"  n'arrivent je dois en profiter un maximum.

D'autres personnes viennent après qu'il est dit sa. Sûrement les même hommes plus tôt, qui nous avaient accueilli.

La tension monte d'un cran et ma peur aussi. Ma respiration ce saccade et les larmes pointent le bout de leur nez.

Des gémissement et un petit mouvement à suffit à attirer mon attention un instant. Madame était éveillé et me regardait les yeux gonflés. C'est le souffle court qu'elle me murmure.

- Courage ma fille. Dit-elle avec beaucoup de mal.

Des petits bruits métallique attire mon attention et je le vois détaché la boucle de sa ceinture. Des rires moqueurs accentue l'instant dramatique de la situation.

- Charlie...Maintient la tête de notre chère Alya pour qu'elle profite de ce spectacle. Rit-il.

- NE ME TOUCHER PAS SALE ENFOIRÉ !!!!!!

Sa femme Où les histoires vivent. Découvrez maintenant