Chapitre 2

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Je me retrouve dans une voiture qui roule à toute vitesse vers une destination que je ne connaissais pas.

J'avais beau crier et me débattre sa n'y changeais rien. L'homme au volant n'en avait rien à faire de moi. Alors j'ai fait la chose que je sais faire le mieux  c'est de pleurer.
J'ai pleurer à m'en fatigué et morphée c'est occupé de m'accueillir dans ses bras.

[...]

Je me réveille sur quelque chose de moelleux.....ce n'était pas le bitume froid et dure....c'était un lit.
C'est peut-être bête pour certain mais pour moi cela est un luxe que secrètement je nourrissais l'espoir d'obtenir. De m'y coucher dessus. Sentir la fraîcheur des draps propres. J'en suis presque émue car, même à l'orphelinat c'était au sol que l'on dormaient toutes. Je voulais savourer ce moment agréable mais je suis interrompu par l'entrée d'une femme habillée d'une drôle de façon.

Elle portait une robe je pense. Noir et blanc. Avec des chaussures fermées. Elle avait la tête baissé et elle tremblait comme une feuille.
Elle avança avec un plateau et le déposa sur la petite table à côté du lit. Je vis de la nourriture et j'avais si faim que l'on entendait un concert de Mozart dans mon ventre. Mais malgré tout je m'interdisais d'y toucher. Je n'avais pas le droit. C'est comme sa que l'on devait faire à chaque fois que l'on me servait un repas.

Comme à l'orphelinat, il fallait demander la permission avant de manger. Malgré les nombreuses année où je me suis enfuit de cet endroit, j'ai gardé des habitude que je n'arrive pas à enlever de moi-même. Même quand j'étais dans la rue j'attendais devant le peu de nourriture que je trouvais.

C'était au bord du malaise qui avait souvent  raison de moi que je cédais. C'était comme sa. Je devais attendre devant mon assiette quitte à la laissé refroidir ou pourrir la nourriture qui s'y trouvait. Par moment, on nous forçais à le manger malgré le stade pour sa  consommation soient dépassé. Malgré l'odeur infâme qui s'y dégagait. On avait faim et elles le savaient. Alors, elles nous forçaient à le manger. Malgré que l'on pouvait tomber malade. Malgré que certaines en mourraient. On devait le mangé. L'appel de la faim était trop forte pour l'ignorer.

Et c'est ce que je fis. J'attends devant cette assiette qui a l'aire délicieuse  la permission de pouvoir manger. La dame de tout à l'heure c'était mise dans un coin de la pièce attendant sûrement que je fasse quelque chose.

Après l'avoir regardé de plus près, j'ai vue des cicatrice sur ses avant bras. Sa peau était très blanche et je ne voyais pas ses yeux car elle avait tout me temps la tête baissé. J'étais tellement  absorbé par ma contemplation que je n'ai pas tout de suite entendu sa question.

-Mademoiselle vous manger pas ?

Je ne dis rien pendant un petit temps puis je me lance un peu craintif.

- J'-j'ai l-le dr-droit ?

- Bien sûr Mademoiselle. Il est pour vous se repas. Dit-elle stupéfait.

- M-Merci.

Je ne me fis pas prier et dévore le plat. Cette sensation de satiété m'en donne la larme au yeux. Des larmes de joie. 

Je suis heureuse par le fait de me nourrir. Je ne m'encombre même pas avec des couverts. J'y est été directement avec les doigts, comme si il n'y avait personne autour de moi. Je sens le regard de la femme de tout a l'heure mais je m'enfiche. Seule mon estomac compte actuellement.

[...]

Après ce copieux déjeuner, je ne savais pas quoi faire. Je réalisa que je suis dans une chambre que je ne connais pas. Avec une personne qui m'était totalement inconnue. Même-ci elle n'est plus dans la pièce, -aussitôt fini mon repas elle parti avec- je n'avais aucune idée de qui elle était et pourtant cela ne m'avais jamais venu à l'esprit qu'elle pouvait me faire du mal rien, quand mettant quelque chose dans ma nourriture. Ou bien me faire du mal physiquement.

La panique commençait à monté crescendo en moi. Qu'est-ce que je faisais ici ? Et qui m'avait emmener la ? Et pourquoi ?

Je dois sortir d'ici mais je ne sais même pas où je suis.
Puis... la porte s'ouvre.

Des pas résonnes sur le sol.

Plus rien....

J'ose levé la tête vers cette personne rentré dans la pièce et je croise ce regard vert.

Mille et une émotion me traverse.
La stupéfaction, l'incompréhension mais aussi la peur....

Il m'avait retrouvé... je n'ai pas pu le semé.... est-ce que même j'avais eu une chance de l'avoir été ?

-Ton nom? Dit-il simplement. Le visage neutre.

- A-Amalya Monsieur. Dis-je la peur au ventre. Je tremble comme une feuille.

- Humm ton dernier bain remonte à quand Amalya ? Dit-il le dégoût sur son visage.

Je baissé la tête géné. Je commence à renifler signe de mon envie de pleuré de honte.

- Je ne sais pas Monsieur. La tête toujours baissé.

- RÉFLÉCHI !!!

Je sursaute surprise. J'ai peur.

- REGARDE MOI QUAND JE TE PARLE PETITE MERDE !!!!!

Je fis ce qu'il me dit.

- Peut-être de-deux semaines Monsieur. Par-pardon. Dis-je la voix tremblante.

Un silence qui faisant du bruit s'installa dans la pièce. Puis un soupire s'ajoute.

- CÉLIA!!!!!!!
Quelque secondes plus tard, une femme apparaît dans la chambre. Elle était habillée de la même façons que l'autre femme de toute à l'heure.

- Va la nettoyer. Elle empeste. Et toi ! Dit-il en tournant ma tête vers moi. Tu me rejoins une fois fini.

J'hôche la tête timidement et il partit me laissant seule avec la dite Céclia.

- On n'y va Mademoiselle.

Je l'a suivie dans la pièce juste à côté de la chambre et on y voit une salle de bain. Il y avait une grande douche et une baignoire juste à côté. La pièce était sous les tons noir et beige.  Tout était propre, moderne et classe. Je regardais la dite Célia s'affairé pour me faire un bain.

Une fois toutes ses tâches faites, elle se tourne vers moi et me dit doucement.

- Mademoiselle pouvez-vous me permettre de vous aider à enlever vos habits.

Je suis craintif mais au point où j'en étais que pouvait-il bien m'arriver de plus.

[...]

C'est propre de la tête au pied que je suis Célia dans les longs couloirs de cette maison. Je suis sensé rejoindre l'homme de tout à l'heure et je ne dois pas être en retard selon ma nouvelle "amie".
J'ai pu faire la connaissance de Célia. Elle est gentille, mais elle n'a pas le droit de me parler alors à chaque fois qu'on en aura l'opportunité se sera en cachette. D'après ses dire.
Elle m'a aussi dit que tout ce savait ici.
Qu'il faut faire attention à ce qu'on fait et à ce qu'on dit.
Je reste quand même méfiante vis-à-vis d'elle. Si elle me confie déjà autant sans autorisation "soi-disant" et sans même que je l'ai demandé, Dieu sait ce qu'elle pourrait à la base faire dans l'avenir.

On s'arrête finalement devant une porte. Elle nous annonce et attend la permission de pourvoir rentré.

C'était le bureau de l'homme que j'ai vue plus tôt. Cette pièce était sombre. Il n'y avait pas beaucoup de lumière mais on pouvait ce rendre compte qu'elle avait une grande superficie.
Pendant ma contemplation, mes yeux tombes sur une autre personne.

Il était beaucoup plus jeune. Il avait les cheveux blonds bouclé, des lèvres rose et charnue. Il était habillée d'un polo bleu foncé et d'un pantalon beige avec des baskets blanche. Je ne connais pas les marques mais cela ce sent, lorsque c'est de la qualité. Il lisait un livre je crois et ne faisait pas attention au personne autour de lui

- Approche toi.

Je sursaute et me tourne vers le Monsieur derrière le bureau.
Je fis ce qu'il me dit et m'arrête a distance raisonnable.

Il me détail de haute en bas et me dit simplement...

-Tu feras l'affaire...

Sa femme Où les histoires vivent. Découvrez maintenant