22 août 1864

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PDV Yelena :
Depuis cette altercation avec Arthur Petrova, je n'ai pas revu Katherine enfin Katerina. Ni lui d'ailleurs, j'ignore qui il est et je préfère me concentrer sur le pour quoi je suis venu ici, je n'ai pas le temps d'apprendre à le connaître pour l'instant.

Depuis ce jour ou madame ne m'a pas sauver, je me suis enfermer chez moi, je ne veut voir personne.

J'ai reçu des centaines de lettres venant de Katerina, mais je n'y est pas répondu.

Elle souhaite me voir mais je refuse.

Je veut rentrer à la maison.

C'était une mauvaise idée de venir ici, ma mère ne veut pas de moi et sa ne changera jamais. Elle n'est pas faite pour se rôle, elle m'a abandonné alors que je n'avais que 2 ans. Je connaît chaque détails de l'histoire, mais si j'avais été à sa place je serait revenu pour voir mon enfant. Tante Rebekah l'aurait protéger de son frère je le sais, elle me l'a dit. Tante Meri et tante Esme l'aurait protéger également, et tante Blair aussi. Sans oublier sa soeur, ma tante Vina, elles l'auraient toutes protégées de Klaus. Alors pourquoi elle m'a abandonné ?

Elle disais qu'elle m'aimais, a mes tantes, tout les jours elle jouait avec moi, ont faisait des gâteaux, ont se promenais, ont allait au marcher de la ville.. et elle m'a abandonné comme si sa ne représentait rien à ses yeux. J'aurais aimer m'en souvenir, mais d'un côté c'est une bonne chose. Je ne veut pas avoir tout ses bons souvenirs en tête et après me morfondre en disant que j'ai pas de chance parce que mes parents sont plus là. Je ne doit pas m'apitoyer sur mon sort, je suis une Petrova, et les Petrova ne pleur pas pour quelqu'un. Ont est pas des faibles.

Pleurer n'est pas une faiblesse.

Je le sais bien, mais pour moi s'en est une. J'ai assez pleurer ma mère, elle ne mérite pas mes larmes ni mon temps.

C'était une mauvaise idée de venir ici et d'essayer de la ramener. Je vais rentrer. Mes tantes me manque.

C'est décidé, je rentre au près de gens qui m'aime VRAIMENT.

Je prend toutes mes affaires que je dépose dans mes malles, je fait en sorte que la maison soit débarrassé de toute trace de mon passage.

Une fois que j'ai tout nettoyer, je sort rapidement de la maison. Je met mes malles à l'arrière de la calèche et je cherche mon cheval.

Je monte sur la calèche et prend les rennes en main pour faire avancer mon cheval, je lance un dernier regard à ma maison et je souffle.

J'ai bien aimer ses moment avec ma mère.

J'aurais aimer en avoir plus.

Je secoue la tête pour me sortir toute penser sur ma mère, de ma tête.

Sur le chemin je passe devant la maison des Salvatore, j'aperçois au loin Katerina et un homme au cheveux brun, ils ont l'air proches. Elle lui sourit.

Je m'arrête un instant et je l'es regarde de loin.

C'est horrible.

J'ai l'impression que je vais mourir d'une seconde à l'autre, mon cœur ne cesse de me faire mal à force de se contracter, je me fait violence pour ne pas pleurer.

... : pourquoi tu te fait autant de mal ?

Je tourne la tête vers la voix. C'est Arthur.

Moi : vous ne pouvez pas comprendre.

Arthur : cela fait des siècles que je suis loin de mes sœurs pour leur sécurité, je n'ai pas le droit de m'approcher d'elles ni de leur parler.

Je le regarde avec de la peine, il a l'air d'en souffrir. Enfaite non, c'est sûr qu'il en souffre.

Vivre ou mourir ? Petrova :Lignée éteinte.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant