Chapitre 8

46 3 18
                                    

✍🏼

Je mange à côté d'une petite fille nommé dunya, qui est très mignonne. Elle m'a dit que c'était la cousine à Younes. Putain, mais c'est pas possible je le connais, je connais pratiquement toute sa famille. A croire qu'on allez se marier. Jamais de la vie. Je suis pas suicidaire pour aimer et me marier avec un bipolaire. On mange avec toute sa famille, quand dunya prête mon attention

Dunya: tu sais Younes,il me parle beaucoup de toi

Moi: ah bon? Qu'es qui dit?

Dunya: je peux pas te dire c'est un secret

Moi: ah d'accord, c'est lui qui a dit de ne pas parler?

Dunya: oui il m'a dit si je le dit à quelqu'un il me met dans cage et me balance dans la mer

J'ai souris bêtement parce que y'a que lui qui peut voir des idées pareilles
Dunya m'interrompt en me disant quelque chose d'embarrassant

Dunya: tu aimes mon cousin?

Je savais pas trop quoi répondre du coup je me suis juste contenter de lui dire c'est compliqué. Si elle savait à quelle point je le déteste.

Moi: toi sinon sa va l'école? Tu as des copines

Dunya: oui sa va mais j'ai qu'une copine sinon les autres elles me parlent plus

Moi: ah oui? Et pourquoi ?

Dunya: il disent tous que je suis une pourriture qui ne vaut rien

A ce momant la, je me suis remémoré de toutes les expériences à ce sujet la, sa a toujours était compliqué pour moi de m'intégrer parce que j'ai toujours préférer la solitude.

Moi: si elles sont comme sa, elle n'en valent pas la peine. Tu n'es pas une pourriture c'est elle les pourritures qui n'ont rien dans la tête de te laisser comme sa

Dunya: merci beaucoup, je t'aime beaucoup Maïssa

Je lui est renvoyé un sourire rassurant.Je trouve que les mots doux valent mieux que des gros cadeaux de luxes. Moi tu me donnes un cadeau qui ne vaut pas très chère, à mes yeux sa vaut de l'or

Il était assez tard, du coup je Selem tout le monde, et je quitte la maison.

Khalti Saïda: Younes, accompagne là jusqu'à chez elle

Moi: tkt Khalti je vais rentrer seule, ne t'en fais pas

Younes: tu m'as appelé ?

Khalti Saïda : ou, je t'ai dit d'allez la raccompagner chez elle hmar

Younes: Vsy cb

Moi: j'ai pas besoin cb

Younes: si Vsy met tes chaussures on y va

Moi: orh tu me fais mal au crâne

Younes: c'est fait exprès tkt

Moi: oui bah non, je suis fatiguée à cause toi

Il lache un sourire au coin, mais il est vraiment flippant ce mec. Je me demande qu'es qui a dans son crâne a lui. On quitte la maison, il faisait déjà nuit, pas très responsable tout sa...
Younes commence à lancer la conversation

Younes: j'ai vu ta parler à ma petite cousine

Moi: euh oui vite fait

Younes: j'ai vu aussi tu souriais, elle te parler d'un sujet important ?

Moi: elle me disais simplement que j'étais une fille bien, et qu'elle m'aimait beaucoup

Younes: mmmh

Moi: pourquoi? Tu te doutes de quelque chose ?

Younes: non j'étais presque sur qu'elle parlait de moi

Moi: pourtant tu as tord

Younes: si tu le dit

On était presque arrivé, quand y'avait la pluie et l'orage. Oh non pas sa. J'étais en t-shirt je commençais à éternuer. J'avais froid. Younes lui non car il avait une veste

Younes: t'es entrain de crever de froid espèce de bête

Moi: comment j'étais sencé savoir qu'il allait y avoir de la pluie

Younes: tiens prend ma veste tu vas t'evanouir vu l'état comment t'es

Moi: j'en est pas besoin

Je commençais à me disputer avec lui, quand soudain y'a un orage. J'essaie de me retenir de sursauter

Younes: je vois que tu te retiens de sursauter

Moi: non pas du tout

Comment il sait sa lui, comment il a vu chaque détail du mouvement de mon corps ? Je commence vraiment à croire qu'il n'est pas humain.

J'ai pris sa veste mais elle me va beaucoup trop grande, je suis vite rentrée chez moi j'ai aperçu ma mère sur le canapé avec regard vide

Moi: qu'es qui a mama?

Mama: j'en ai marre de lui il sert a rien dans cette foutue baraque

Moi: qui papa?

Mama: oui il sors tard le soir et ne reviens pas vite. Je sais pas qu'es qui fous dehors je me demande si il me trompe

Moi: comment il peut te remplacer toi? T'es magnifique

Mama: merci hbiba,mais je me fais vraiment des doutes

Moi: ne t'en fais pas, si il fait quoi que soit c'est entre lui est dieu.

Mama: tu as raison ma fille

Moi: bon maintenant va te reposer

Mama: oui j'y vais. Tu veux manger quelque chose?

Ma mère elle se souci toujours du besoin des autres avant elle. Elle est douce est hnina elle a de vrai valeurs

Moi: non tkt pas j'ai déjà mangé

Mama: comme tu voudras ma fille

Je pars, je me met en pyjama et je dors. J'étais impuissante d'aller voir mon frère, ni d'appeler hayat ou Issrae. Le lendemain il faisait super beau, il fallait absolument que j'en profite. Je parle comme si il faisait jamais beau chez moi mddrr. Deux semaines sont passé et je n'ai pas revu Younes. Croyait même pas je m'attache à lui hein. Je le considère juste comme une connaissance détestable.

🤍

Chronique de Maïssa: « Un plaisir, pour un regret éternel »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant