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Je mange à côté d'une petite fille nommé dunya, qui est très mignonne. Elle m'a dit que c'était la cousine à Younes. Putain, mais c'est pas possible je le connais, je connais pratiquement toute sa famille. A croire qu'on allez se marier. Jamais de la vie. Je suis pas suicidaire pour aimer et me marier avec un bipolaire. On mange avec toute sa famille, quand dunya prête mon attention
Dunya: tu sais Younes,il me parle beaucoup de toi
Moi: ah bon? Qu'es qui dit?
Dunya: je peux pas te dire c'est un secret
Moi: ah d'accord, c'est lui qui a dit de ne pas parler?
Dunya: oui il m'a dit si je le dit à quelqu'un il me met dans cage et me balance dans la mer
J'ai souris bêtement parce que y'a que lui qui peut voir des idées pareilles
Dunya m'interrompt en me disant quelque chose d'embarrassantDunya: tu aimes mon cousin?
Je savais pas trop quoi répondre du coup je me suis juste contenter de lui dire c'est compliqué. Si elle savait à quelle point je le déteste.
Moi: toi sinon sa va l'école? Tu as des copines
Dunya: oui sa va mais j'ai qu'une copine sinon les autres elles me parlent plus
Moi: ah oui? Et pourquoi ?
Dunya: il disent tous que je suis une pourriture qui ne vaut rien
A ce momant la, je me suis remémoré de toutes les expériences à ce sujet la, sa a toujours était compliqué pour moi de m'intégrer parce que j'ai toujours préférer la solitude.
Moi: si elles sont comme sa, elle n'en valent pas la peine. Tu n'es pas une pourriture c'est elle les pourritures qui n'ont rien dans la tête de te laisser comme sa
Dunya: merci beaucoup, je t'aime beaucoup Maïssa
Je lui est renvoyé un sourire rassurant.Je trouve que les mots doux valent mieux que des gros cadeaux de luxes. Moi tu me donnes un cadeau qui ne vaut pas très chère, à mes yeux sa vaut de l'or
Il était assez tard, du coup je Selem tout le monde, et je quitte la maison.
Khalti Saïda: Younes, accompagne là jusqu'à chez elle
Moi: tkt Khalti je vais rentrer seule, ne t'en fais pas
Younes: tu m'as appelé ?
Khalti Saïda : ou, je t'ai dit d'allez la raccompagner chez elle hmar
Younes: Vsy cb
Moi: j'ai pas besoin cb
Younes: si Vsy met tes chaussures on y va
Moi: orh tu me fais mal au crâne
Younes: c'est fait exprès tkt
Moi: oui bah non, je suis fatiguée à cause toi
Il lache un sourire au coin, mais il est vraiment flippant ce mec. Je me demande qu'es qui a dans son crâne a lui. On quitte la maison, il faisait déjà nuit, pas très responsable tout sa...
Younes commence à lancer la conversationYounes: j'ai vu ta parler à ma petite cousine
Moi: euh oui vite fait
Younes: j'ai vu aussi tu souriais, elle te parler d'un sujet important ?
Moi: elle me disais simplement que j'étais une fille bien, et qu'elle m'aimait beaucoup
Younes: mmmh
Moi: pourquoi? Tu te doutes de quelque chose ?
Younes: non j'étais presque sur qu'elle parlait de moi
Moi: pourtant tu as tord
Younes: si tu le dit
On était presque arrivé, quand y'avait la pluie et l'orage. Oh non pas sa. J'étais en t-shirt je commençais à éternuer. J'avais froid. Younes lui non car il avait une veste
Younes: t'es entrain de crever de froid espèce de bête
Moi: comment j'étais sencé savoir qu'il allait y avoir de la pluie
Younes: tiens prend ma veste tu vas t'evanouir vu l'état comment t'es
Moi: j'en est pas besoin
Je commençais à me disputer avec lui, quand soudain y'a un orage. J'essaie de me retenir de sursauter
Younes: je vois que tu te retiens de sursauter
Moi: non pas du tout
Comment il sait sa lui, comment il a vu chaque détail du mouvement de mon corps ? Je commence vraiment à croire qu'il n'est pas humain.
J'ai pris sa veste mais elle me va beaucoup trop grande, je suis vite rentrée chez moi j'ai aperçu ma mère sur le canapé avec regard vide
Moi: qu'es qui a mama?
Mama: j'en ai marre de lui il sert a rien dans cette foutue baraque
Moi: qui papa?
Mama: oui il sors tard le soir et ne reviens pas vite. Je sais pas qu'es qui fous dehors je me demande si il me trompe
Moi: comment il peut te remplacer toi? T'es magnifique
Mama: merci hbiba,mais je me fais vraiment des doutes
Moi: ne t'en fais pas, si il fait quoi que soit c'est entre lui est dieu.
Mama: tu as raison ma fille
Moi: bon maintenant va te reposer
Mama: oui j'y vais. Tu veux manger quelque chose?
Ma mère elle se souci toujours du besoin des autres avant elle. Elle est douce est hnina elle a de vrai valeurs
Moi: non tkt pas j'ai déjà mangé
Mama: comme tu voudras ma fille
Je pars, je me met en pyjama et je dors. J'étais impuissante d'aller voir mon frère, ni d'appeler hayat ou Issrae. Le lendemain il faisait super beau, il fallait absolument que j'en profite. Je parle comme si il faisait jamais beau chez moi mddrr. Deux semaines sont passé et je n'ai pas revu Younes. Croyait même pas je m'attache à lui hein. Je le considère juste comme une connaissance détestable.
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Chronique de Maïssa: « Un plaisir, pour un regret éternel »
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